Alors bonne mise-bas.Croaa a écrit:Oui. Le nouveau est en gestation
Alors bonne mise-bas.Croaa a écrit:Oui. Le nouveau est en gestation
Pardeilhan a écrit:Le Rescator a écrit:Pardeilhan a écrit:--- ...c'est sûr : la contestation en chanson, c'est ENCORE, les Étasuniens, qui l'ont inventée.
Tu penses à cela :
Here's to you, Nicola and Bart,
Rest forever here in our hearts,
The last and final moment is yours,
That agony is your triumph.
-- non ; c'était du second degré.
Déjà Bob Dylan, la soupape du protest song (le pape en étant Woody Guthrie) est un pilleur de répertoire folklorique que c'en est une honte ! ...et quant à la si belle mélodie de la chanson de son ex. Joan Baez - que j'adorais étant petit -, c'est un Italien qui l'a composée : Ennio Morricone ! Et ladite chanson "contestataire" était si peu dérangeante que même ma grand-mère la trouvait jolie ! ... bon, elle aimera moins "God Save the Queen" des Sex Pistols, quelques années plus tard...
En France, la chanson "contestataire" existe depuis toujours ; de François Villon à Béranger l'ancien et à Béranger François (inspirateur de Renaud).
Depuis 70 ans, on nous a bourré le crâne avec cette prétendue "musicalité" de la langue anglaise (propagande culturelle qui dure... qui dure...) ; rien que dans l'émission de France Cul. sur Tardi, ils passent trois minuscules extraits des chansons de Grange, mais ils terminent l'émission en passant un blues américain en quasi intégralité dont la plupart des auditeurs n'ont pas entravé la moindre parole !
Les bonnes chansons (contestataires ou pas) sont efficaces quelles que soient les langues dans lesquelles elles sont interprétées ; et l'opéra est chanté en Italien, en Allemand, en Français, en Anglais, en Espagnol, en Russe, en Chinois etc. J'en ai marre de l'impérialisme de l'Anglais (que je parle cependant et comprends correctement)...
...mais, au fait : vous lisez Buck Fanny, Lucky Luke et Blueberry en Anglais, vous ?
.
lusabets a écrit:Buck Fanny...
J'aime bien.
Tiens, y a de l'écho...Pardeilhan a écrit:Pardeilhan a écrit:Le Rescator a écrit:Pardeilhan a écrit:--- ...c'est sûr : la contestation en chanson, c'est ENCORE, les Étasuniens, qui l'ont inventée.
Tu penses à cela :
Here's to you, Nicola and Bart,
Rest forever here in our hearts,
The last and final moment is yours,
That agony is your triumph.
-- non ; c'était du second degré.
Déjà Bob Dylan, la soupape du protest song (le pape en étant Woody Guthrie) est un pilleur de répertoire folklorique que c'en est une honte ! ...et quant à la si belle mélodie de la chanson de son ex. Joan Baez - que j'adorais étant petit -, c'est un Italien qui l'a composée : Ennio Morricone ! Et ladite chanson "contestataire" était si peu dérangeante que même ma grand-mère la trouvait jolie ! ... bon, elle aimera moins "God Save the Queen" des Sex Pistols, quelques années plus tard...
En France, la chanson "contestataire" existe depuis toujours ; de François Villon à Béranger l'ancien et à Béranger François (inspirateur de Renaud).
Depuis 70 ans, on nous a bourré le crâne avec cette prétendue "musicalité" de la langue anglaise (propagande culturelle qui dure... qui dure...) ; rien que dans l'émission de France Cul. sur Tardi, ils passent trois minuscules extraits des chansons de Grange, mais ils terminent l'émission en passant un blues américain en quasi intégralité dont la plupart des auditeurs n'ont pas entravé la moindre parole !
Les bonnes chansons (contestataires ou pas) sont efficaces quelles que soient les langues dans lesquelles elles sont interprétées ; et l'opéra est chanté en Italien, en Allemand, en Français, en Anglais, en Espagnol, en Russe, en Chinois etc. J'en ai marre de l'impérialisme de l'Anglais (que je parle cependant et comprends correctement)...
...mais, au fait : vous lisez Buck Fanny, Lucky Luke et Blueberry en Anglais, vous ?
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Pardeilhan a écrit:Le Rescator a écrit:Pardeilhan a écrit:--- ...c'est sûr : la contestation en chanson, c'est ENCORE, les Étasuniens, qui l'ont inventée.
Tu penses à cela :
Here's to you, Nicola and Bart,
Rest forever here in our hearts,
The last and final moment is yours,
That agony is your triumph.
-- non ; c'était du second degré.
Déjà Bob Dylan, la soupape du protest song (le pape en étant Woody Guthrie) est un pilleur de répertoire folklorique que c'en est une honte ! ...et quant à la si belle mélodie de la chanson de son ex. Joan Baez - que j'adorais étant petit -, c'est un Italien qui l'a composée : Ennio Morricone ! Et ladite chanson "contestataire" était si peu dérangeante que même ma grand-mère la trouvait jolie ! ... bon, elle aimera moins "God Save the Queen" des Sex Pistols, quelques années plus tard...
En France, la chanson "contestataire" existe depuis toujours ; de François Villon à Béranger l'ancien et à Béranger François (inspirateur de Renaud).
Depuis 70 ans, on nous a bourré le crâne avec cette prétendue "musicalité" de la langue anglaise (propagande culturelle qui dure... qui dure...) ; rien que dans l'émission de France Cul. sur Tardi, ils passent trois minuscules extraits des chansons de Grange, mais ils terminent l'émission en passant un blues américain en quasi intégralité dont la plupart des auditeurs n'ont pas entravé la moindre parole !
Les bonnes chansons (contestataires ou pas) sont efficaces quelles que soient les langues dans lesquelles elles sont interprétées ; et l'opéra est chanté en Italien, en Allemand, en Français, en Anglais, en Espagnol, en Russe, en Chinois etc. J'en ai marre de l'impérialisme de l'Anglais (que je parle cependant et comprends correctement)...
...mais, au fait : vous lisez Buck Fanny, Lucky Luke et Blueberry en Anglais, vous ?
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Cabarezalonzo a écrit:Pas sûr que ce soit une sérigraphie, car ce serait alors un anachronisme (dans l'absolu, ce n'est pas impossible, au nom de la liberté et de la fantaisie créatrice, mais j'en doute fort). Dans la vignette considérée, il pourrait s'agir en réalité d'un dessin original (non encadré, tu penses, à l'époque... ) qui aurait pu être utilisé ou "décliné" ultérieurement, en fonction des besoins, lorsque Tardi a bossé avec cet atelier de sérigraphie. Commode de reprendre un truc tout fait ou de le décalquer à la table lumineuse.
Dans le récit de Grange, cette vignette se déroule normalement un an après la rencontre des auteurs au sein de la rédaction de "BD, l'hebdo de la BD", en 1978, quelques années (4-5 ans) avant la mode des sérigraphies (lancée par Repérage).
A ce sujet, mais je ne voudrais pas "spoiler" pour ceux qui n'ont pas encore lu ce roman graphique et souhaitent profiter pleinement de chaque surprise au détour d'une page, dans la dernière vignette horizontale de la page 171, il y a un auteur dont le visage m'est familier mais auquel je ne parviens pas à mettre le nom avec certitude. Je sollicite votre concours.[Révéler] Spoiler:Il pourrait s'agir de René Pétillon, mais je le trouve un peu trop chevelu et brun de poil ? Faudrait que je retrouve des photos de ces mecs à cette époque.
De gauche à droite, après Simon devenu junkie, j'identifie Gébé, Jean-Patrick Manchette avec un fume-cigarette, Grange, ce fameux auteur à identifier (Pétillon ?), Bernier dit Prof Choron (autre adepte du fume-cigarette), Tardi, Cavanna, Wolinski, Reiser hilare et un personnage de dos non identifiable. Vous voyez les mêmes ?
Autre question pour les physionomistes. A la page 50, vignette horizontale du milieu, en 1962 quand Dominique Grange joue au théâtre Frank V, opéra d'une banque privée de Friedrich Dürrenmatt. On reconnaît bien Michael Lonsdale et Jean Rochefort, mais qui est le personnage tout à droite ?
Cabarezalonzo a écrit:...[Révéler] Spoiler:Il pourrait s'agir de René Pétillon, mais je le trouve un peu trop chevelu et brun de poil ? Faudrait que je retrouve des photos de ces mecs à cette époque.
De gauche à droite, après Simon devenu junkie, j'identifie Gébé, Jean-Patrick Manchette avec un fume-cigarette, Grange, ce fameux auteur à identifier (Pétillon ?), Bernier dit Prof Choron (autre adepte du fume-cigarette), Tardi, Cavanna, Wolinski, Reiser hilare et un personnage de dos non identifiable. Vous voyez les mêmes ?
Autre question pour les physionomistes. A la page 50, vignette horizontale du milieu, en 1962 quand Dominique Grange joue au théâtre Frank V, opéra d'une banque privée de Friedrich Dürrenmatt. On reconnaît bien Michael Lonsdale et Jean Rochefort, mais qui est le personnage tout à droite ?
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