Le Tapir a écrit:Si les lecteurs-acheteurs réfléchissaient plus leurs achats et s'ils achetaient moins (de ce fait aussi), il n'y aurait pas ces problèmes! Les libraires qui acceptent ces retours encouragent les acheteurs a avoir un attitude compulsive. Tous co-responsables de la surproduction quelque part!
Croaa a écrit:Remember a écrit:néanmoins le dos est en parfaite harmonie avec la série
Oui mais non. Il n'est pas numéroté comme les autres. ce qui veut bien dire que ce n'est pas le 26e.
Il n'est donc pas dans la série classique.
BDbilos a écrit:Le Tapir a écrit:BDbilos a écrit:corentin a écrit:Je le vois comme un (faux) préquel aux Cités obscures qui explique l'avènement de ce monde rétro-futuriste cher à Schuiten.
j'adore cette mise en perspective, très bonne idée
Moi pour le coup ça me gène un peu comme assertion! Parce que réduire cette bd à cela, c'est signifier qu'elle n'est pas un vrai Blake et Mortimer, et que Schuiten n'est pas capable de faire autre chose que ce qu'il a toujours fait...
Pas forcement pour moi, on peut aussi y voir un reflet de la "porosité" chère à Peeters et Schuiten à l'époque des CO, tout en etant un hommage à Jacobs au premier abord.
Le Tapir a écrit:Si les lecteurs-acheteurs réfléchissaient plus leurs achats et s'ils achetaient moins (de ce fait aussi), il n'y aurait pas ces problèmes! Les libraires qui acceptent ces retours encouragent les acheteurs a avoir un attitude compulsive. Tous co-responsables de la surproduction quelque part!
marone222 a écrit:@Alambix et Fancomvous, vous êtes sur des positions de principe très rigides que la plupart des libraires n'appliquent même pas.
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marone222 a écrit:Le Tapir a écrit:Si les lecteurs-acheteurs réfléchissaient plus leurs achats et s'ils achetaient moins (de ce fait aussi), il n'y aurait pas ces problèmes! Les libraires qui acceptent ces retours encouragent les acheteurs a avoir un attitude compulsive. Tous co-responsables de la surproduction quelque part!
Donc c'est bon pour le business...
marone222 a écrit:Le Tapir a écrit:Si les lecteurs-acheteurs réfléchissaient plus leurs achats et s'ils achetaient moins (de ce fait aussi), il n'y aurait pas ces problèmes! Les libraires qui acceptent ces retours encouragent les acheteurs a avoir un attitude compulsive. Tous co-responsables de la surproduction quelque part!
Donc c'est bon pour le business...
Le Tapir a écrit:
Qui gagne à la fin?
- auteurs en compétition, mal payés (frustrés)
- Acheteurs addicts et compulsifs (frustrés)
- beaucoup de surproduction (accumulation, mauvaise qualité, pollution)
-BD qui devient un marché avec ses filières (commerce au détriment de la qualité)
- libraires qui n'ont jamais le temps de lire ce qu'ils vendent et qui tiennent juste des terminaux de vente, ect....
alambix a écrit:marone222 a écrit:@Alambix et Fancomvous, vous êtes sur des positions de principe très rigides que la plupart des libraires n'appliquent même pas.
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En tant que commerçant, je peux te dire qu'il y a une énorrrrrrrrrrrme différence entre ce que le commerçant fait et ce qu'il ce que le commerçant pense.
Les retours, tu es quasiment obligé de les accepter maintenant, parce que, comme tu dis, t'as des géants commerciaux à côté qui le font, et que les clients ne supportent plus qu'on leur refuse quoi que ce soit.
Tu dis "non" une fois, et t'es descendu sur internet.
Après c'est juste une question de savoir-vivre.
Blizzard_aok a écrit:Vivi2 a écrit:mbouglion a écrit:Par contre les déçus, on a l'impression que vous avez des avis à l'extrême, presque à le mettre au même niveau que "le ciel lui tombe sur la tête".
marone222 a écrit:alambix a écrit:marone222 a écrit:@Alambix et Fancomvous, vous êtes sur des positions de principe très rigides que la plupart des libraires n'appliquent même pas.
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En tant que commerçant, je peux te dire qu'il y a une énorrrrrrrrrrrme différence entre ce que le commerçant fait et ce qu'il ce que le commerçant pense.
Les retours, tu es quasiment obligé de les accepter maintenant, parce que, comme tu dis, t'as des géants commerciaux à côté qui le font, et que les clients ne supportent plus qu'on leur refuse quoi que ce soit.
Tu dis "non" une fois, et t'es descendu sur internet.
Après c'est juste une question de savoir-vivre.
Mais non, ce n'est pas une question de savoir vivre, c'est une question de service et donc de business pour le libraire ! Un retour se gère en 15 secondes par le libraire, il clique sur son écran, scanne la bd et la repose en rayon !
Comme le dit Tapir, ce service facilite et peut encourager l'acte d'achat
Le Tapir a écrit:
Après c'est juste une question de savoir-vivre.
Tonton Calou a écrit:Vous exagérez tout : on parle de situation tout à fait occasionnelle (< 1% en ce qui me concerne) et on extrapole sans nuance vers des achats compulsifs et un taux de retour de 50%...
jfmal a écrit:Et pour le cinoche, vous avez réussi à en trouver un où on vous offre une séance lorsque le film vous a déçu?
Blizzard_aok a écrit:Bon et sinon, on peut commencer à parler du Dernier Pharaon Tome 2?
fancomvous a écrit:Bon, après j'arrête, promis.
Il ne faut quand même pas déconner. Quand tu achètes en boutique tu n'as pas les mêmes excuses pour retourner ton achat.
Par correspondance, admettons.
Tu l'as en main, un bouquin tu le feuillettes, tu peux te faire une idée quand même du contenu avant de te décider.
Il ne faut pas me faire dire ce que je n'ai pas écrit. Je peux concevoir le cas très ponctuellement comme je l'ai déjà précisé, mais de là à instaurer ça comme une règle automatique moralement inattaquable et qui coule de source (oui même si je connais le droit français sur les retours sous certain délai), je ne suis -intimement et personnellement- pas d'accord avec ce principe.
Et, toujours perso, un récidiviste serait de moins en moins bien reçu chez moi. Alors que je peux, toujours très ponctuellement, accorder ça sans problème à un gonze pas coutumier de la pratique même bien après les délais susceptibles de m'y contraindre.
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