yannzeman a écrit:A Nirm :
"Oui oui" ?
les ventes n'ont jamais été aussi élevées !
alors, peut-être pas des livres (quoi que, je demande à voir), mais les dessins animés et les jouets, si !!!
(il suffit d'avoir des enfants en bas âge pour le savoir)
D'où l'intérêt de prendre cet exemple pour parler de littérature enfantine.
On a typiquement un classique dont les ventes de livres sont ridicules et qui existe par les jouets et les dessins animés.
yannzeman a écrit:le niveau des ventes est donc bien un élément indiscutable du statut d'une oeuvre (classique ou pas ?), même si effectivement la transmission d'une oeuvre ne passe pas que par les ventes.
mais le reste est plus difficile à évaluer, c'est ce que je voulais dire.
je ne jure pas que par les ventes, mais c'est tout de même un élément déterminant.
Je réfute juste ton affirmation qui consiste à dire que "Si les chiffres de vente ne sont pas bons, c'est pas un classique"
Je trouve cette version étroitement mercantile.
Will Eisner par exemple, peu de titres dispo donc si on regarde les ventes de sa trilogie new-yorkaise sur une période récente en France on doit en déduire que son oeuvre n'est pas un classique ?
La jeunesse du médium, ce qu'on met derrière "de bonnes ventes", la disponibilité de l'oeuvre, etc compliquent cette déduction selon moi.