Arf, j'ai l'impression qu'on est revenu 6 ou 7 pages en arriere...
Il me semblait qu'on avait dépasser cette gueguerre la dans ce post. En tout cas c'etait son but
Cosmo est le premier à refuser cette étiquette et accepte cette dénomination du bout du clavier, faute de mieux.
Aujourd'hui lorsqu'un ouvrage est :
- soit indépendant
- soit américain mais pas comics
- soit japonais mais pas manga
- soit totalement invendu
on parle d'underground !!!
Pas faux
- soit totalement illisible
Là, tu tends le baton...
Le replique va être "Qu'est ce qu'illisible" et on sera reparti pour un tour.
Tu devrais aller faire un tour sur le post "[Underground] on commence en douceur", je crois que les choses avancent pas mal. Abraham de Sanctis par exemple, qu'a priori on ne peut pas soupsonner d'avoir un ego démeusuré a decouvert avec plaisir deux ou trois choses...
Et on est pas obligé de tout aimer.
Par exemple, il est quasiment certain que je ne finirais jamais "La nouvelle au pis", de Blanquet. Dans ce domaine, si on ne veut jouer le jeu, il faut se comporter comme pour le "mainstream", ne pas aimer tout ce qui sort. Rester objectif dans sa subjectivité
Fan de Greg, si je lis une BD moyenne de lui, je ne dirait jamais "Ah que c'est bien, c'est du Greg", je dirais "Mouais, bof". Idem pour Moebius. La démarche devrait être la meme pour l'underground si on veut un fond de sincérité. Il faut accorder a ces auteurs la le droit de se tromper si on veut qu'ils restent credibles...