Vous êtes plusieurs a vous draper dans votre connaissance underground pour jeter ici ou la vos références, des auteurs difficiles d'accès, sur le ton mes-pauvres-amis-vous-etes-vraiment-crottés mais sans aucune remise en contexte, sans pédagogie.
Et quand j'en vois certains monter aux créneaux pour défendre certain albums (triggs par exemple, parceque bon, hein, entre nous...), on a l'impression qu'on est plus dans le dogme que dans le bon goût… Et de vous arque bouter sur votre bagage culturel, le dressant comme un étendard, pendant que les autres se tournent autour tel des canidés se reniflant le fondement, clamant ostensiblement qu'ils ont les mêmes références…
Alors qu'il serait si simple de mettre deux secondes l'ego de coté et d'expliquer, d'analyser le contexte, les innovations, les dénonciations. Moins de dogmatisme et plus de didactisme. Je crois que c'est par la que passe l'éducation du bon peuple
Bon, je demande pas forcément un cour sur l'underground new-yorkais (quoique).
Alors que ce soit dans ce post (dont le titre n'est pas forcément provocateur au contraire) ou dans d'autre post, ce serait cool ce vous y coller.
Et pourquoi pas commencer par Burns.
Quid ? Pourquoi Burns ? Comment l'aborder ? Graphiquement, sociologiquement…
Bref au lieu de vous astiquer les cérébelleuses, je vous propose de donner des cours d'éducation sexuelle…
Elle est pas belle la vie ?
