nexus4 a écrit:Faudra quand même vous faire à l'idée que lutter contre le chômage augmente la pauvreté. Lutter contre le chômage pour diminuer la pauvreté c'était vrai dans un modèle de plein emploi, qui n'est plus et qui n'arrivera plus. C'est contre la pauvreté qu'il faut lutter, pas le chômage. Ou alors avec des salaires décent, corollaire passé volontairement sous silence la plupart du temps.
Ah quoi bon répartir les richesses demandait-on plus haut ? ben voilà, t'as la réponse.
Lutter contre le chômage avec le mode actuel c'est augmenter la pauvreté, c'est évident.
La solution c'est le partage du travail (et donc des revenus lié au travail mais aussi le partage un peu plus équitable des richesses).
Il y a moins de travail parce que tout le monde veut soit payer moins cher l'achat de produit, soit faire le plus de bénéf possible. On n'est pas près de s'en sortir.
Je reviens sur le cas Légo.
1400 emplois, c'est quoi annuellement ? à 50 000€ annuel, c'est 7M€. Disons entre 8 ou 10 pour prendre en compte des hauts salaires et se prendre une marge de
Sur 1,2Milliards de bénef... Soit moins de 1% du benef... Ce qui veut idre que l'actionnaire (en prenant en compte que la totalité du benef est versé en dividende, ce qui n'est jamais le cas) va touché un dividende en baisse de 1% contre 1400 famille qui vont se retrouver en difficulté.
Rien ne justifie cela à part l’appât du gain.
Mais voilà, nous vivons dans ce monde là, et avant que cela change...
Quand un licenciement permet de sauver une entreprise de certaines difficultés pour permettre le maintien de l'activité, ok, quand c'est pour maintenir ou augmenter la rentabilité avec de gros benefs...