LeJoker a écrit:La seule explication pour être dans un tel déni s'agissant des effets évidents de l'alcool, c'est d'avoir de la famille atteinte je pense. D'où ce réflexe de défense.
Analyse et Réflexion défaillante. Je t'invite à réessayer et, si possible, en évitant l'insulte gratuite qui nuirai à ton argumentaire.
Gurvan a écrit:Bagarres, comportement déplacés envers des clients, métier de bouche... Malgré cela, l'encadrement a toujours fait preuve de patience et/ou de lâcheté...
Du coup, cela devient compliqué...
C'est bien ce qu'il me semble, face à un problème que l'on peut ou ne veut gérer, la facilité est de jouer le pourrissement, classique et dangereux.
Cet encadrement est elle au moins consciente que sa responsabilité est engagée ? En effet, il n'est pas rare de rencontrer un encadrant qui s'en fout complètement et qui pense, à tort, que tout va se résoudre tout seul.
Quant aux sanctions disciplinaires, ce n'est pas plus simple dans le privé, c'est juste une procédure lourde et extrêmement chronophage. Ceux qui ne veulent pas les mettre en oeuvre ont souvent l'argumentaire de prétendre avoir des choses plus importantes à traiter, mais il y a des décisions sur ces points chaque jour.
Dans le malheur c'est que la décision ne pourra être prise qu'après un "vrai gros soucis", en gros quand cela aura pété à la gueule à tout le monde et là il faudra encore plus de boulot pour masquer le truc.