Mr Degryse a écrit:Heureusement, j'avais tout sous la main pour stopper le merdier.
Renseigne nous un peu sur le traitement miracle !
J'ai chopé connement le Sars-CoV2 dans une cousinade à dix personnes
Et tu le sais comment que c'était le covid si tu ne t'es pas testé.
Je suppose que vous vous êtes déclarés, que les supposés positifs ont été se faire tester, se sont isolés etc. Que bien entendu malgré l'arrêt de tes symptômes tu t'es isolé pour éviter de contaminer d'autres etc
Promis, pour le premier volet, je reviendrai répondre plus en détails dès que j'aurai un peu de temps. Mais, faut pas s'attendre à des révélations bouleversantes. Rien que de très banal, notre pharmacopée étant si riche. J'ai misé sur la variété et la synergie des moyens plutôt que sur le produit miracle.
Là, maintenant, ce n'est pas vraiment le cas, j'ai d'autres priorités.
Ma place, aujourd'hui, en tant que citoyen et membre du peuple d'en bas
(personne n'étant parfait, j'ai accompli une partie de ma carrière professionnelle avec un statut d'officier public assermenté, d'officier ministériel plus précisément, nommé par arrêté du Garde des Sceaux. L'arrêté m'accordant le droit de me retirer a pris plus de douze mois (peut-être bien 18 ?), sans doute la lenteur administrative de la chancellerie ?...) n'est pas devant un clavier d'ordinateur.
Ma place est bien évidemment dans la rue, en ce samedi de juillet. Ni montagne, ni plage. Je défilerai avec les sans-dents. Sera-t-on un ou deux millions de vilains ?
Comme la semaine dernière, afin de défendre ce qui m'est le plus cher, avant la santé, ce sont les libertés fondamentales, celles préexistantes à toute loi écrite ou coutumière, mais garanties par nos constitutions successives depuis la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, et très largement bafouées depuis trop longtemps.
Ce n'est pas un droit que je vais exercer. C'est un devoir rappelé justement dans le préambule de notre Loi fondamentale (la Constitution).
Sinon, où ai-je écrit que je n'avais pas été testé. Je ne suis pas un addict à cet écouvillon intrusif
(des jeunes sains de corps mais pas d'esprit revenaient faire la queue chaque semaine pour un test, selon la personne qui m'a introduit les bâtonnets dans les narines).
Là où je me suis avancé, c'est en disant que j'avais eu le Sars-CoV2. Un premier test positif suivi d'un second négatif ne me permettent en effet pas de conclure que j'ai eu la covid. J'avais des trucs dans les narines, du matériel génétique de type brin d'ARN méconnaissable sans doute
(normal, avec un symptôme grippal), point barre.
Merci de ne pas me coller prématurément d'étiquette d'antivaxx. J'ai eu suffisamment de doses et de rappel de saloperies diverses
(dont une partie expérimentales probablement) pendant mes douze mois d'armée.
Mon père, pharmacien, se vaccinait chaque année contre l'influenza. Mais il n'obligeait pas pour autant ma mère à l'imiter
(comme toi tu le fais avec ta famille, semble-t-il) et se soumettre à la vaccination.
Ce qui fait qu'aujourd'hui, mon père étant décédé, puisque je prends les décisions pour ma mère placée en Ehpad, je ne l'ai pas encore faite vacciner malgré ses 90 ans révolus. On s'aime et je ne me vois pas lui faire injecter quelque chose qu'elle aurait sans doute refusé par elle-même.
Si c'était mon père qui était à sa place, dépourvu des facultés cognitives lui permettant d'arbitrer, je l'aurais sans doute fait vacciner. Encore que j'aurais été bien embêté, préférant jouer la carte d'un vaccin autorisé par une AMM définitive.
Perso, j'ai dû choper deux fois la grippe dans ma vie. Jamais enfant, mon père et mon système immunitaire y veillaient.
La première, une grippe qui m'a empêché d'aller au turbin pendant plus de deux ou trois jours, en début de trentaine. J'étais loin d'être à l'article de la mort ou d'éprouver des difficultés pour respirer, mais c'était la première fois dans mon existence qu'une pathologie produisant des effets principalement dans la sphère ORL s'accompagnait aussi de courbatures et d'une grande fatigue.
Quand je me suis installé en professionnel libéral, quelques années plus tard, j'ai dû me faire vacciner une ou deux fois contre la grippe, suivant la recommandation de mon paternel. Et je crois, mais je n'en suis plus très sûr, que j'avais chopé un virus grippal à une de ces occasions. Conséquence : 2 ou 3 jours sans aller au taf, en tant qu'indépendant.
A la suite de ça, j'ai cessé de me vacciner pour la grippe
(même quand la bande de salopards Sarko-Bachelot a essayé de nous la faire avec H1N1 - là c'est mon toubib qui m'avait dissuadé, me recommandant le cuivre des labos Granions et de couper simultanément la téloche, mais pour le personnel, mes associés et moi-même plus la clientèle, j'avais acheté un stock de masques chirurgicaux (personne n'y a puisé dedans) et du gel hydroalcoolique.
Halte au fascisme, après on verra...
Allez, à plus.
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Il me plaît bien, moi, ce dentiste, qui ne fait pas de discrimination parmi sa patientèle. Si je n'habitais pas aussi loin, c'est chez lui que j'irais faire mon prochain détartrage avec un petit examen buccal.
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