En Suisse, en tout cas pour moi, ça s’était passé ainsi. Inscription en ligne avec mise en file d’attente avec une estimation de 11 minutes avant que la fenêtre d’inscription soit ouverte (délai respecté, normal quand on vit dans une région qui est le berceau de l’horlogerie). Rendez-vous pris le 11 mai pour le 10 juin (le canton venait d’ouvrir la vaccination aux 16-65 ans) au centre vaccinal où l’ on n’a pas le droit d’entrer 10 minutes avant le rendez-vous. Ce que j’ai fait, prise rapide, une civiliste me donne un questionnaire à remplir, puis me confie à une infirmière, piqûre, puis le quart d’heure d’observation. Ensuite je suis invité à suivre les flèches vers la sortie, où l’on me donne le deuxième rendez-vous pour le 8 juillet. Seul effet secondaire une douleur modérée pendant une journée dans le bras gauche. Et donc rebelote le 8, avec cette fois-ci pas de quart d’heure observation, et pas de douleur dans le bras. Et à la sortie j’ai reçu mon certificat avec le QR code pour l’application à télécharger sur mobile ou tablette. Pour ma maman ça s’est passé un peu différemment parce que le certificat n’était pas encore prêt, elle a reçu un sms deux semaines plus tard avec un code, et j’ai téléchargé l’application sur son smartphone et introduit le code.
Et sinon effectivement la situation des cinémas en France, montre bien que le pass sanitaire utilisé n’importe comment, ne rend pas service à l’économie. Un pass sanitaire c’est un peu comme le système HACCP, il devrait être utilisé pour assurer la sécurité dans les endroits à risque. Et les cinémas n’en font pas parti, en tout cas bien moins que les écoles.
Il y a un moment en France, où il faudra peut-être essayer autre chose que le tout répressif (genre l’utilité du couvre-feu ?). Et qu’on ne me réponde pas que ça été fait, si on n’est pas capable de me détailler comment.
Oh puisque j’ai parlé cinéma le communiqué de la FNEF (la fédération nationale des éditeurs de films ) :