Quand je pense que j'en avais quatre boites à la maison (plus de l'azithromycine) et que je n'ai pas pu en faire profiter ma mère, +90 ans, covid avec symptômes en ehpad.
Parce que l'ordonnance (une ordo délivrée en janvier 2021, pas au siècle dernier, par l'ancien médecin du même ehpad) n'était pas à son nom !... Bon, les hautes doses de vitamine D (que le successeur de la Buzyn et peut-être de Véran s'apprête à interdire pour un avenir proche...
), vitamine C, combinées au zinc ont permis de faire le taf. Mais il aura quand même fallu deux antibiotiques pour faire disparaître une toux persistante.
Et le médecin officiel a mis plus de deux semaines avant de venir. Heureusement que j'étais allé en voir un sans attendre quand on m'avait prévenu qu'elle était positive asymptomatique. J'avais senti qu'il y avait anguille sous roche et qu'on me cachait des choses. Un jour, je téléphonais, on me disait qu'elle n'avait pas de fièvre mais toussait un peu. Le lendemain, c'était un peu de fièvre mais pas de toux. Et zéro toubil en consulte !
Bravo la médecine sous Macron-Véran !
Et j'avais pris soin d'interdire par écrit l'administration du moindre comprimé de paracétamol, sous peine de poursuites.
Alors qu'à la même période, tandis que les règles édictées par l'ARS m'interdisaient toute assistance à ma mère en danger (et maltraitance), je me suis rendu à deux reprises au domicile d'une amie non vaccinée et qui elle était sous oxygène à cause d'une sévère désaturation après avoir chopé un covid Delta. Un coup, j'y suis allé pour lui porter des médocs (de l'ivermectine) et j'y suis retourné deux jours plus tard pour lui porter des compléments et de la bouffe maison (de la betterave rouge crue et bio, un très bon truc pour les problèmes de bronches et d'apport en 0² dans le sang). Les deux fois, mon amie s'est levée et a ôté son masque à 0² pour me remercier. Mais, suffoquant très vite, le hasard a voulu qu'elle tousse à chaque fois quand elle était à un mètre de moi grand max. J'avais quand même, dérogeant à mes habitudes, enfilé un masque chirurgical dont le maillage est 200 fois plus large que le virus (ça laisse tout passer sauf les gouttes et postillons de celui qui parle) mais je n'ai rien chopé (j'avais néanmoins badigeonné mes narines de ce qu'il fallait, en prévention). Son compagnon, lui, a été contaminé, sous la forme d'un gros rhume. L'amie en question a frôlé la correctionnelle mais elle s'est bien remise. Elle est venue m'embrasser la semaine dernière et je l'ai trouvée en pleine forme. Elle doit cependant faire un peu de kiné/rééduc des poumons.
Je pense qu'elle a développé une forme grave à cause de l'utilisation de vieux masques dégueulasses, qu'elle faisait par provocation. Les moisissures et les champignons de toute sorte peuvent avoir des conséquences funestes et aggraver sérieusement toute maladie orl et pulmonaire (grippe, covid, etc...). Pas de masque, ok. Mais si on doit s'en coller un sur le groin pour le taf
(sauf si c'est comme moi le temps d'une course qui dure 5 minutes, on ne devrait pas faire une infection fongique en si peu de temps), ce qui était son cas, encore faut-il qu'il soit propre.
Pour ma part, depuis, je me suis farci une sinusite carabinée qui m'a emmerdé deux nuits et cinq jours
(chaque année j'y ai droit), mais l'autotest effectué au troisième jours était négatif.
Et pour l'ivermectine, ben, du coup, j'en ai filé deux boites à ma belle-mère (double-vaxx mais se trainant une sorte de bronchite chronique) et une (la prise est fonction du poids) à ma fille (même statut vaccinal que la belle-mère).