Larry Bambell a écrit:
Noter que, PENDANT la guerre, Dupuis avait d'ailleurs pris soin de laisser Spirou en-dehors de tout ça, en l'envoyant inopinément en Amérique (avec, perso, une de ses aventures par Rob-Vel que je préfère, avec les gags initiaux).
Bien sûr...Alex2021 a écrit:Larry Bambell a écrit:
Noter que, PENDANT la guerre, Dupuis avait d'ailleurs pris soin de laisser Spirou en-dehors de tout ça, en l'envoyant inopinément en Amérique (avec, perso, une de ses aventures par Rob-Vel que je préfère, avec les gags initiaux).
Sincèrement, tu crois que vu le contexte politique, les éditeurs et les auteurs avaient réellement le choix ?
Si tu t'étais servi du journal comme outil de propagande pour contrer le régime en place, il aurait été très vite fermé.
Larry Bambell a écrit:Ce que je voulais surtout dire, c'est qu'on a alors préféré expédier Spirou (le perso) en Amérique, pour essayer de "dépayser" le 'tit lecteur, lui donner une distraction l'éloignant de ce qu'il pouvait vivre au quotidien...
rayman2 a écrit:Larry Bambell a écrit:Ce que je voulais surtout dire, c'est qu'on a alors préféré expédier Spirou (le perso) en Amérique, pour essayer de "dépayser" le 'tit lecteur, lui donner une distraction l'éloignant de ce qu'il pouvait vivre au quotidien...
Je ne comprends pas trop cette expédition de Spirou en Amérique : à quelle date et quelles histoires ?
Larry Bambell a écrit:En janvier 1940, dans "Le Fils du milliardaire"...
(il s'agit bien de la série, hein, le personnage Spirou).
Jijé prendra la suite avec le Canada, avant de le faire rentrer à Bruxelles en 1941...
Diddu a écrit:Il y a effectivement écrit Spirou en gros sur la couverture, mais ce n'est un album de Spirou (type Spirou et Fantasio), mais qui concerne le journal de Spirou.
Certes, cela peut prêter à confusion, mais ce sont finalement 2 choses assez différentes.
zourbi le grec a écrit:Je n'ai pas l'impression que Spirou chez les fous et les amis de Spirou ont beaucoup de succès.
On a une idée des ventes ?
bone a écrit:Les 'Spirou et Fantasio par' sont très inégaux
Une moitié m'a plu
L'autre moins
ServalReturns a écrit: [...] lorsque j'évoque Spirou avec mon entourage. Personne n'y bite rien [...] je pense que pour le grand public, la série est un bordel sans nom.[...]
ServalReturns a écrit:... je constate ça à mon niveau personnel, lorsque j'évoque Spirou avec mon entourage. Personne n'y bite rien (sauf celui qui comme moi suit la série avec attention - vigilance devrais-je dire). Je pense que pour le grand public, la série est un bordel sans nom.
Pardeilhan a écrit:ServalReturns a écrit: [...] lorsque j'évoque Spirou avec mon entourage. Personne n'y bite rien [...] je pense que pour le grand public, la série est un bordel sans nom.[...]
Alors, si Spirou ne peut évoluer, qu'il régresse...
Je l'ai déjà dit - et d'autres, ici-même, l'ont dit aussi -, après l'apparent échec de Supergroom, Spirou ne sauvera sa peau qu'avec un destin à la Blake & Mortimer : une copie graphique de l'univers de Franquin (on y revient) et dans une temporalité figée (les 50's/60's) ; une série unique (sans spin-off et autres vu par), lancée à grands coups de marketing à chaque rentrée de septembre ...une série qui s'éteindra avec la génération des boomers.
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Pardeilhan a écrit:après l'apparent échec de Supergroom
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