rahoul a écrit:ulys a écrit:La bouffe de gauche, c’est de la vegan ou pas ?
A ta droite, c'est du poney, à ta gauche c'est de la licorne.
Bonap !
ulys a écrit:rahoul a écrit:ulys a écrit:La bouffe de gauche, c’est de la vegan ou pas ?
A ta droite, c'est du poney, à ta gauche c'est de la licorne.
Bonap !
Faut juste éviter le pangolin quoi.
Croaa a écrit:Après, comme il n'est pas bon de manger systématiquement la même chose, je carie les yaourts...
spyd a écrit:Enfin le week-end
tranquille à la maison
Olaf Le Bou a écrit:spyd a écrit:Enfin le week-end
tranquille à la maison
par contre, confinement ou pas, il a fait beau toute la semaine et il flotte le samedi quand je peux enfin tondre la pelouse, y'a des trucs qui changent pas
Olaf Le Bou a écrit:spyd a écrit:Enfin le week-end
tranquille à la maison
par contre, confinement ou pas, il a fait beau toute la semaine et il flotte le samedi quand je peux enfin tondre la pelouse, y'a des trucs qui changent pas
Olaf Le Bou a écrit:spyd a écrit:Enfin le week-end
tranquille à la maison
par contre, confinement ou pas, il a fait beau toute la semaine et il flotte le samedi quand je peux enfin tondre la pelouse, y'a des trucs qui changent pas
xof 24 a écrit:Olaf Le Bou a écrit:spyd a écrit:Enfin le week-end
tranquille à la maison
par contre, confinement ou pas, il a fait beau toute la semaine et il flotte le samedi quand je peux enfin tondre la pelouse, y'a des trucs qui changent pas
Fallait tondre vendredi et bosser aujourd'hui
Olaf Le Bou a écrit:xof 24 a écrit:Olaf Le Bou a écrit:spyd a écrit:Enfin le week-end
tranquille à la maison
par contre, confinement ou pas, il a fait beau toute la semaine et il flotte le samedi quand je peux enfin tondre la pelouse, y'a des trucs qui changent pas
Fallait tondre vendredi et bosser aujourd'hui
pour des raisons diverses, directes (les ruptures matières premières) ou indirectes (la disponibilité plus grandes des labos pour traiter mes projets ou suivre mes formations) les sujets dont je m'occupent sont tous en première ligne en ces temps de ralentissements des cadences dans les usines, j'ai plein de boulot et des réunions ou des formations tous les aprèmes.
Pourquoi nos rêves confinés sont si riches
5 MIN
THE OBSERVER (LONDRES)
Pas étonnant que notre vie nocturne soit étrange en ce moment. Nos songes nous aideraient à gérer notre stress et nos émotions, explique cette chercheuse spécialisée dans les interactions entre le système immunitaire, le cerveau et le comportement.
Alors, à quoi ressemblent vos rêves, ces temps-ci ? S’ils vous paraissent particulièrement vivants et étranges, vous n’êtes pas les seuls. Si ce qu’ils racontent n’intéresse pas vos colocataires, rassurez-vous, en revanche ça va passionner Internet. Les réseaux sociaux et autres forums en ligne sont submergés de témoignages de gens qui décrivent leurs “rêves confinés”.
Quelques-uns sont clairement le reflet de nos peurs actuelles – des difficultés à respirer, l’impression d’être couvert d’insectes grouillants, d’être pris au piège –, mais le virus et ses conséquences n’occupent pas toujours le devant de la scène. Les rêves de certaines personnes s’articulent autour de thèmes et d’angoisses totalement différents. D’autres constatent simplement qu’elles rêvent plus, et que leurs songes sont plus fantasmagoriques. Curieuse ironie du sort, alors que notre vie éveillée se fait plus monotone, notre vie nocturne devient plus riche.
Plus de temps pour broyer du noir
D’un point de vue scientifique, ce qui rend nos rêves plus ou moins vivaces demeure mystérieux. La recherche a montré que plus nous sommes en phase avec nos sentiments à l’état d’éveil, plus nos rêves seront colorés (littéralement) et mémorables. Les médicaments qui influent sur l’adrénaline et la noradrénaline – deux neurotransmetteurs qui contrôlent nos niveaux d’excitation et notre réaction au stress – peuvent avoir un impact considérable sur les rêves. De nombreux patients qui prennent des bêtabloquants, lesquels interfèrent avec ces neurotransmetteurs, font état de rêves ou de cauchemars intenses. Outre la thérapie, on a recours à d’autres médicaments qui interfèrent avec la noradrénaline pour traiter les patients qui souffrent de terribles cauchemars.
En situation de confinement, il nous est moins facile de faire appel à nos stratégies d’adaptation habituelles. Les angoisses de notre subconscient collectif en profitent-elles pour se déchaîner pendant la nuit ? Il y a peut-être un facteur plus prosaïque, à savoir la perturbation de notre routine. Nous disposons probablement d’un peu plus de temps pour broyer du noir le matin pendant le confinement (avant de, hum, sauter du lit pour se lancer dans notre journée de huit heures de travail productif de chez nous).
Phénomène intrigant
Les troubles ou l’altération du sommeil sont des symptômes généralement associés à tout type de stress, qu’il s’agisse de ce que le sujet perçoit comme une injustice sociale ou d’une catastrophe naturelle. Et nous n’avons pas besoin d’être directement touchés par des événements pour qu’ils pèsent sur notre subconscient. En 1986, la navette spatiale Challenger a explosé au décollage, des images qui ont été diffusées dans le monde entier. Des semaines plus tard, des entretiens ont montré qu’un quart des enfants qui vivaient sur la côte ouest des États-Unis, avec un décalage horaire qui ne leur avait pas permis d’assister en direct à l’accident et qui n’avaient aucun lien personnel avec le lieu du drame, rêvaient régulièrement de la navette. De façon rassurante, quatorze mois après l’explosion, ces rêves et d’autres symptômes d’anxiété avaient considérablement diminué.
Soyons clairs, les cauchemars chroniques de quelqu’un qui se trouve en situation de stress post-traumatique sont un phénomène bien différent. Mais que nous soyons si nombreux à faire des rêves aussi réalistes et mémorables alors que la crise se développe, voilà qui est intrigant.
Les scientifiques se sont efforcés de comprendre comment un traumatisme national pouvait affecter la qualité du sommeil. En 1991, pendant la première guerre du Golfe, Israël a été la cible de tirs de missiles sans préavis. Il pouvait être dangereux de s’endormir. Il n’est donc pas étonnant que, lors d’enquêtes menées au téléphone, nombre d’habitants disaient avoir des problèmes de sommeil. Toutefois, quand les chercheurs ont ensuite procédé à des expériences sur place, ils n’ont trouvé aucune preuve d’une baisse de la qualité du sommeil pendant le conflit. Le stress a apparemment un effet subtil sur le sommeil, et il ne suffit pas de suivre nos ondes cérébrales et nos mouvements pendant la nuit pour l’identifier.
Aucune manière de manipuler les rêves
Au réveil, on conserve un souvenir souvent flou de nos rêves. Les rêves, surtout les plus vivants, ont généralement lieu pendant la phase de sommeil paradoxal. L’activité électrique de notre cerveau a alors beaucoup en commun avec la phase d’éveil. Si on vous réveille délibérément pendant cette phase – ce que pratiquent régulièrement les laboratoires qui étudient le sommeil –, il est probable que vous vous souviendrez mieux de vos rêves.
Nous commençons à peine à comprendre le sommeil, et nous en savons encore moins sur la science des rêves. Les scientifiques ont autant de peine à les saisir que nous à les comprendre alors qu’ils se dissipent et nous échappent à notre réveil. On pense qu’ils nous aident à gérer le stress et les émotions, mais cette idée est difficile à tester scientifiquement. Nous ne disposons pas d’une méthode qui nous permette de manipuler nos rêves sans influencer d’autres aspects du sommeil.
Quand quelque chose est compliqué à étudier chez l’homme, les neuroscientifiques ont coutume de se tourner vers les animaux. Impossible de demander à un rat s’il rêve de moutons électriques, mais on peut enregistrer ses phases de sommeil paradoxal. Des études menées sur des rats montrent que l’impact du stress sur le sommeil paradoxal dépend de l’amygdale – une petite structure profondément enfouie dans notre cerveau, qui gère notre réaction émotionnelle au monde extérieur. L’amygdale est bourrée de récepteurs des hormones du stress.
Le stress incontrôlable comme facteur
Notre système de gestion du stress est particulièrement actif dans des situations qui paraissent imprévisibles et incontrôlables. Or la perte de contrôle pourrait également être importante pour nos rêves. Chez les souris, de brusques bouffées d’un stress évitable entraînent une augmentation de la durée du sommeil paradoxal. Si le stress est de même intensité, mais inévitable, la durée du sommeil paradoxal diminue.
Le coronavirus [responsable du Covid-19] est la cause de difficultés financières, d’isolement social, de perte de notre rôle social habituel et, pour certains, d’êtres chers. Ces sources de stress sont réelles et actuelles, d’autres ne sont que des craintes ou sont existentielles. L’incertitude et l’imprévisible dominent l’expérience que nous avons de la vie. Rien de bien nouveau, en vérité, à l’aune de l’histoire de l’humanité. Ce que la crise que nous traversons a de nouveau, c’est le stress supplémentaire de la distanciation sociale.
Gigantesque expérience sociale
Nos rêves étranges sont le sommet de l’iceberg psychologique. Qu’on le veuille ou non, nous prenons aujourd’hui part à une gigantesque expérience sur les effets d’un accroissement du stress associé à une réduction drastique des contacts sociaux. C’est l’occasion de découvrir comment nous réagissons à cette double agression, quels facteurs affectent l’effet que cela peut avoir sur des personnes différentes, et ce qui nous aide à le surmonter. Le stress et l’isolement social étaient des problèmes avant que le coronavirus ne nous attaque – cette crise pourrait bouleverser la façon que nous avons d’aider ceux qui subiront toujours cet isolement une fois le confinement terminé. Des recherches sont déjà en cours. Par exemple, le public peut participer à l’étude intitulée Repeated Assessment of Mental Health in Pandemics (“Évaluation et suivi de la santé mentale en situation de pandémie”), du King’s College.
Quant à ces rêves du confinement, si vivaces, ils finiront par passer chez la plupart d’entre nous. En attendant, il faut appliquer les règles normales de l’hygiène du sommeil. Comme ne pas consulter les dernières nouvelles sur la pandémie juste avant d’aller se coucher. Là, j’avoue que j’ai du mal, personnellement.
marone222 a écrit:Oui, mais je pense que le risque de 2ème vague est davantage lié à la façon dont on deconfine (par exemple, si on laisse les grands parents aller chercher leurs petits enfants à l'école).
marone222 a écrit:Pour les écoles, j'aurais plutôt commencé par ouvrir les études supérieures et lycées (où l'on peut supposer que les gestes barrière seraient davantage respectés)
Pour les transports, j'en reviens à mon point sur les seniors : confinement et pas de transport public.
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