Je viens de lire... (14)

[pajan]

Message précédent :
je viens de lire le Donjon de Naheulbeuk , 1ere saison. je connaissais pas ce qui passait sur internet mais je connais assez bien les jeux de rôles.
Je trouve que le concept est amusant et c'est vrai que ce pastiche des quêtes est très bien vu. Les dessins sont sympas mais je trouve l'humour trop répetitif et parfois un peu lourd. je pense qu'on pourrait aller plus loin dans le délire.Il faut voir la suite, le risque c'est que ça tourne un peu en rond comme nos héros dans le donjon.
En tout cas celà m'a donné envie d'aller voir le site.

[dinobd42]

Si ça les 2 Donjons t'ont plus, bientôt tjs de Marion poinsot au dessin - scénario Knarf - couleuurs Yann-gael Clémeceau. avec le même graphisme et le coté djanté une nouvelle série "les aventuriers du NHL 2987 Survivaure" (aventure spatiale tjs façon parodie). Préparution dans le magazine Poison (3 N° pour l'instant). Pour ce qui est de tourner en rond je ne sais si cela sera la même chose

[pajan]

merci pour l'info. on tournera en rond en orbite cette fois si j'ai bien compris.

[pajan]

Je viens de lire le Goon. Je ne suis pas un lecteur de comics mais j'ai été attiré par la couverture dont je trouvais le dessin très sympa. je n'ai pas été déçu du tout car tous les ingrédients sont réunis pour que celà me plaise. D'abord un univers déjanté , assez gore , un héros qui rappelle un peu Marv dans Sin City ( imposant , meurtri , violent mais pas si mauvais) et un milieu urbain bien glauque.
On pourrait situer les décors de Powell dans les Etats-Unis des années 30 , 40. D'ailleurs celui-çi fait un pastiche très amusant d'une illustration de Norman Rockwell; le célèbre illustrateur Américain qui a dessiné les couvertures du Washington Post pendant plus de 40 ans, réputé pour ses dessins montrant des tranches de vie et le quotidien des américains.
Les histoires du Goon s'enchaînent sans temps mort , nous donnant petit à petit un éclairage nouveau sur les origines du Goon et du monde hostile , peuplé de zombies, dans lequel il vit.
J'ai vraiment passé un excellent moment en compagnie du Goon et de son faire-valoir Franky; Pour amateur d'action et d'humour assez noir.

[philippe_grenier]

Critique 145 - Cañari T.1 Les Larmes d'Or



Synopsis du site de Soleil
Une histoire où se mêlent exotisme et mystère, imaginée par Crisse, et sublimée par la force originale du graphisme de Meglia !

Mexique, avant les Conquistadors. Issu d'une famille nombreuse, Xaotil assiste, impuissante, à la disparition de l'un de ses petits frères. Au cours des recherches, Kia, l'une de ses soeurs, trouve un mystérieux bracelet, impossible à retirer. Mexique, XXIe siècle. Curieusement, Wayne surfe toujours sur la même plage, pourtant peu réputée pour ses vagues. La raison ? Une carte postale l'attire étrangement vers ce lieu. Qui sait ? Peut-être y découvrira-t-il enfin d'où il vient...

Avec le rapatriement des séries Luuna et Atalante, et la parution récente du premier tome de la série Ishanti, voici que maintenant Crisse et Soleil étoffent leur nouvelle collection Mythologic Fantasy d'un quatrième titre avec le premier tome de Cañari! Et cette fois-ci, pour illustrer ces aventures qui se dérouleront en Amérique Centrale, qui choisir de mieux que le talentueux argentin Carlos Meglia?

En effet, celui-ci se joint à l'équipe des éditions Soleil pour sa première parution franco-belge, après avoir publié des épisodes de séries dont Crimson avec Scarlet X: Blood on the Moon chez Cliffhanger, quelques numéros de Elektra chez Marvel, un épisode de Superman/Action Comics en 2003 ainsi qu'une histoire complète du même super-héros intitulée Infinite City en 2005 pour DC, en plus de la mini-série Star Wars: Underworld - The Yavin Vassilika en 2000 pour Dark Horse.

C'est donc avec un portfolio garni de réussites que le dessinateur à abordé ce nouveau sujet qui lui a été offert, et pour la cause, en plus de permettre aux lecteurs francophones d'apprécier ses illustrations dans une belle édition cartonnée de chez Soleil, l'auteur tente un nouveau style de rendu de dessin en encrant ses planches à l'encre brune, reléguant le noir au simple titre de couleur d'appoint. Le résultat saute aux yeux dès le premier regard et permet de dissocier son style déjà unique de ceux des autres auteurs de sa catégorie. Ainsi, construit à partir d'un scénario léger, mais intéressant, de genre fantastique à caractère jeunesse, c'est avec brio que Carlos Meglia réalise ces 46 planches et du coup séduit le lecteur pour cette aventure aux abords de la vielle ville maya Tulun.

En résumé, cet album est une belle réussite graphique, le scénario est un peu léger pour qualifier l'album de chef d'oeuvre, mais il en demeure que ce tome saura toucher les amateurs de tous les âges, plus particulièrement les jeunes.

½ /5

[babanosaure]

Je viens de lire les 3 tomes de slhoka et cette série est vraiment bien. Le scénario est bien fait avec pas d'action qui donne un bon rythme la bd. De plus ce qui est agréable c'est qu'il y a beaucoup de dialogue (au moins c'est pas lu en une demi heure).

Au niveau du dessin : Il est de mieux en mieux au fur et mesure des tomes : Enrichissement des détails et des décors...

Les couleurs de lyse sont magnifiques

Par contre les auteurs il va falloir ce bouger un peu le cul car sa fait 10 plombes qu'on l'attend le tome4

[philippe_grenier]

Je crois que Carlos Meglia est argentin:). Il est aussi l'auteur de la bande dessinée Cybersix .

Merci pour la correction! J'ai donc corrigé le texte de ma critique plus haut ainsi que sur mon site...

Si tu veux voir la liste complète de ce qui a été publié en anglais, je t'invite à suivre ce lien sur la Comic Book DB...

[philippe_grenier]

Critique 149 - Femmes en Blanc (Les) T.28 Invité donneur



Synopsis du site de Dupuis
Les blouses blanches ont les reins solides !
Les infirmières n'ont pas un métier facile. Chaque jour, elles sont confrontées à des patients pas toujours patients, voire franchement récalcitrants. Et puis il y a la distribution des médicaments, où il ne s'agit pas de se tromper, le manque de place qu'il faut pallier, le stress qu'il faut endurer, les maladies nosocomiales qu'il faut éviter... Bref, pas facile d'endosser le tablier sans sourciller !

La série préférée des corps hospitaliers comme des corps hospitalisés est de retour ! De la radiologie à la pédiatrie, en passant par la chirurgie et la rhinoplastie, tous les services sont passés sous le scalpel de Cauvin et Bercovici. Ces deux grands spécialistes de l'humour dissèquent avec ironie et tendresse les petits bobos et les grands maux de ces nouveaux supermarchés de la santé. Pas étonnant que, malades ou en bonne santé, les lecteurs toujours plus nombreux plébiscitent cette série.

Après 28 tomes parus en seulement 20 ans, il est clair que les albums de Les Femmes en Blanc n'ont guère encore besoin d'introduction! Prépubliées dans le journal Spirou depuis le milieu des années 80, les planches des célèbres infirmières imaginées par Raoul Cauvin et Philippe Bercovici connaissent un succès indéniable auprès des lecteurs de tous les âges.

Ce vingt-huitième tome, élaboré selon la même formule gagnante que les albums précédents, bénéficie toujours de l'humour léger et accessible qui est en fait la marque de commerce du scénariste Raoul Cauvin, et permet une lecture relaxante, mais sans toutefois provoquer d'éclats de rires à ses lecteurs.

En bref, cette nouveauté n'est pas mauvaise et conviendra parfaitement aux amateurs de la série, ainsi qu'aux adeptes des bandes dessinées signées Cauvin.

Ma cote: ½ /5
Celle ma fille: ½ /5

[Le steph]

à l'occasion de courses dans une superette, je suis tombé sur cette édition "particulière" de Quantrill des Tuniques bleues[color=#aa0055]. Ce fût l'occasion de me replonger dans une série qui malgré tout tient bien sur la durée et qui est globalement toujours de bonne facture et souvent très agréable à lire.[/color]

[belmakor]

Bon je viens de commencer à rattraper mon retard de bd qui était monstrueux.

J'ai démarré avec les trois tomes des chroniques de Magon.
à

Ma première réaction au sortir de la lecture: Rahh! et dire que je les ai vues dédicacer tous les trois au salon du livre l'année dernière et que je ne connaissait pas!
J'aurais pu leur dire que le scénario est vraiment intéressant meme si parfois un peu rapide sur quelques points. Que le monde de Magon est vraiment une idée prometteuse qu'on y sent bien entendu l'influence de l'univers manga mais sans que ce soit trop imposant.
J'aurais pu montrer mon admiration quand a l'evolution du dessins sur les trois tomes(surtout au niveau des visages) qu'au premier tome ils étaient sympa mais qu'au tome trois c'est encore plus joli.
Enfin j'aurais exprimé mon enchantement quand aux couleurs sont vraiment superbe et correspondent avec justesse a l'ambiance "post-apocalyptique" voulu.

Bon j'en fait peut etre un peu trop ; mais en tout cas cette série vaut vraiment le coup qu'on s'y attarde. Meme pour un non fan de Sf comme moi, on passe un très bon moment a la lecture. Et élément significatif; on veux la suite!

Heureusement que le tome 4 ne va pas tarder a sortir.

[jdhog]

Voici un ouvrage qui fait exceptionnel, traînait depuis 15 ans sur mes étagères sans l’avoir jamais lu.
Faisant le ménage dans la collection et me préparant à le vendre, je me suis enfin décidé à le lire.



Cette lecture m’a laissé une impression mitigée :
L’histoire se situe 40 ans après les affrontements en Espagne entre républicains et Franquistes. Un ancien sympathisant Rébublicain de la XVème Brigade internationale, aujourd’hui journaliste, reconnaît dans un attentat en Espagne la signature d’un groupe terroriste contre lequel il a lutté en 1938.
Face à l’indifférence générale, il décide de reconstituer son groupe armé et de se mettre sur la trace de ses anciens ennemis.
S’en suit un road movie à travers toute l’Europe pour retraités en mal d’aventure, où se succèdent scènes de violence et longues périodes d’observations.

Côté scénario, l’histoire souffre de longueurs. En effet, cet album se déroule sur 78 planches, un format qui nous change avec bonheur des 48 planches standardisées d’aujourd’hui mais qui ne se justifie pas nécessairement en l’occurrence.

Côté dessin, le style est très marqué. Les personnages sont laids, au sens esthétique, pas au sens technique. Les couleurs sont grises et pales. Les décors sont soignés et visiblement documentés. Malheureusement, la plupart des dessins semblent statiques, les personnages étant comme figés dans leur posture, et souvent en manque d’expression.
Le dessin des personnages et l’histoire en disent long sur la représentation que les auteurs se font de la religion, de la politique et de l’humanité au sens large.

L’intérêt majeur de l’album vient à mon sens de la critique politique ; du constat que fait Christin à propos de l’histoire du Franquisme et des extrémismes divers dans l’Europe du 20ème siècle, ainsi que de la morale qui en découle.
[spoiler]Activistes Républicains ou Franquistes font appel aux mêmes méthodes, à la même violence et finalement, les exaltés de tout poil se valent bien quand la cause qu’ils se sont choisie autorise l’emploi de toute méthode, de l’attentat ciblé au sacrifice d’innocents, au mépris même des valeurs qu’ils se veulent défendre…[/spoiler]

Il est à noter que si mes souvenirs sont bons, cet album a obtenu le prix RTL de la Bande dessinée pour adultes lors de sa parution.

[philippe_grenier]

Critique 151 - Les Petits Hommes T.42 Au nom du frère



Synopsis du site de Dupuis
Le mystère Oliver
Par une belle journée ensoleillée, les Petits Hommes décident de jouer les funambules sur un câble d'acier tendu entre les parois de la vallée. Malgré toutes les mesures de sécurité, Oliver chute... Des battues sont organisées, mais son corps reste introuvable. Stan, le frère jumeau d'Oliver, tient Renaud, le chef de la sécurité d'Eslapion, pour responsable et entend lui faire payer cette disparition. Il ne lésinera pas sur les moyens mis en oeuvre pour déstabiliser Renaud et le discréditer aux yeux des Petits Hommes. Aventure et rebondissements garantis !

Après un règne de près de 35 ans à tenir la barre de création des Petits Hommes, Pierre Seron livre un 42e album de ces petits êtres héroïques, tous victimes d'un effet de rapetissement au contact d'un mystérieux météorite. Ce tome 42, publié aux éditions Dupuis est en fait le 47e à être offert aux amateurs, si l'on tient compte des 5 albums parus de 1989 à 1992 aux éditions Soleil, puis Jourdan, qui reprenaient les premières aventures inédites de Renaud, Lapoutre et Lapaille.

Ainsi, entre deux parutions d'albums de Les Petites Femmes, la série parallèle créée pour un public averti, Seron offre à ses jeunes lecteurs une nouvelle aventure de conception classique, qui a aussi la possibilité d'être appréciée par ses lecteurs nostalgiques des albums scénarisés par Mittéï (Jean Mariette).

En bref, donc, cet album est divertissant et conviendra parfaitement aux jeunes amateurs de bandes dessinées!

/5

[Madus]

Que voilà une BD spéciale de par sa conception. Elle a un style narrée plus qu'autre chose. Peu de dialogues, on a l'impression de lire l'introduction d'un livre. Hélas ce faisant, on reste un spectateur passif, on ne peut rentrer dans l'histoire, qui il faut l'avouer, est un peu à la traîne. On apprend peu de choses sur les personnages et cette aspect narration les rend tous distants. Difficile de s'attacher à eux.
Reste les dessins très sombres, très froids, le tout dans une ambiance assez gothique. Ce n'est pas désagréable, mais cela accentue encore l'impression de distance.
J'espère que le tome 2 sera beaucoup plus vivant car il faut avouer qu'on n'est pas emballé à la fin de ce premier opus.

/5 (à voir ce que donne la suite en fait)




Un anti-héros gamin au possible, des situations ô combien convenues, et des clichés usés jusqu'à la moelle. J'attendais bien mieux de ce Will. L'auteur veut en faire trop, au final, je n'y crois pas un instant. Humour ne rime pas forcément avec imbécilité. La vie d'étudiant offre tellement de possibilités que c'est un scandale de la part de Bianco d'avoir ainsi traité le sujet. Je ne vois vraiment pas à quel lectorat peut s'adresser ce tome. Pas à ceux qui ont été étudiants en tout cas, ils trouveront ça faux et complètement archétypé. Aux plus jeunes peut-être, et encore, je me marre bien plus devant un Kidpaddle que devant ce ramassis d'âneries !

Tout en recherchant une bd légère, j'aurais aimé plus de fonds et moins de bétises. J'espère que les tomes suivants sont plus aboutis et que le héros gagne en maturité/crédibilité et les situations en cohérence, sinon j'oublie !

Désolé pour mes mots, je viens de mapercevoir que j'y suis allé un peu fort, mais j'en veux à Bianco d'avoir ainsi massacré son sujet. Je l'invite à passer une semaine avec des étudiants pour qu'il voie un peu que ce qu'il raconte est niais et qu'il y a matière à faire rire sans prendre les lecteurs pour des gamins de 5 ans.




Bon voilà ca c'était pour les flops que j'ai lus dernièrement. Je poste les bonnes surprises plus tard dans la journée

[Madus]

Je commencerai donc par Le Khan. Je l'ai lue il y a quelques années lors de sa sortie mais je trouve vraiment ca excellent.

Je ne connais pas suffisamment le sujet pour porter un jugement sur la véracité historique du récit, mais en tant que BD c'est une réussite.
Les aventures du gamin qui grandit au fil des albums pour finalement devenir celui que l'on sait sont vraiment hors du commun.
On trouve suffisamment d'action et d'intrigue (mais surtout d'action) pour ne pas s'ennuyer une seule seconde.
Suivre le Khan dans sa conquête de l'Asie est un régal. Les dessins sont en plus magnifiques et les couleurs vraiment superbes. On note ainsi chaque changement de relief, de végétation, de culture. C'est tout bonnement génial d'avoir atteint un tel niveau de détail dans une BD.

Excellente série dans laquelle aucun tome (5 au total) n'est meilleur ou plus mauvais que l'autre.




Je continue avec Ishanti. Ce n'est pas ma BD culte mais j'ai vu quelques avis sur ce forum et comme je ne suis pas de la même opinion je me permets d'en faire partager cette communauté.

Je suis bien content d'avoir investi dans ce premier tome d'Ishanti.
Tout d'abord parce que je trouve le thème assez peu abordé - l'Egypte ancienne - mais aussi parce que c'est un vrai régal à lire.
Le ton est décalé sans pour autant tomber dans la niaiserie ou l'enfantillage.
Les dessins ont un côté cartoon mais sont très agréables à regarder (venant de Crisse, quoi de plus normal).
L'histoire est bonne. Les dieux égyptiens sont aussi loufoques que maléfiques et permettent de nombreuses touches d'humour bienvenues.

L'ensemble se lit donc sans effort et on pénètre volontiers dans le monde magique d'Ishanti. VIvement la suite.



J'en ai aimé bien d'autres comme Le Samurai ou Sanctuaire mais pas mal d'avis ont déjà été postés sur ces deux-là, je vais donc m'arrêter là pour l'instant.

[philippe_grenier]

Synopsis du site de Dupuis
Dans un monde où l'injustice est un choix de société, un sentiment peut émerger : la colère ! Quand vous aurez entre les mains les moyens de mener à bien votre vengeance, saurez-vous vous arrêter ?

Pam Gleam travaille dans un labo américain dont le but est de trouver les réponses au terrorisme bactériologique. Mais pour cela, il faut d'abord imaginer et développer les virus que pourraient utiliser des terroristes (à partir de souches comme l'Anthrax, Ebola, ou même la peste). Quel secret cachent les scènes d'accident qui lui reviennent en mémoire ? Pourquoi ces scènes de violence ? Elle a en main de quoi ouvrir la boîte de Pandore et répandre un terrible fléau...

Dans le premier tome de ce quatrième service de romans graphiques à caractère fataliste orchestrés par Didier Swysen, alias Alcante, le lecteur se fait propulser dans une situation de terrorisme par utilisation d'agents biologiques sur la côte est des États-Unis. Hautement d'actualité, ce sujet n'est que le véhicule permettant d'élaborer le septième et dernier thème des sept péchés capitaux, soit la colère.

Dès les premières planches, le talent de dessinateur de Damour, de son vrai nom Sébastien Tessier, connu pour son travail sur les huit albums Nash publiés chez Delcourt, saute aux yeux et le lecteur sentira d'emblée que le voyage de 54 planches dans lequel les auteurs l'invitent sera agréable visuellement. En ce qui a trait au scénario, Alcante livre une intrigue intéressante tout en continuant de développer un des éléments présentés auparavant dans l'un des tomes précédents.

En résumé, ce septième tome est l'un des meilleurs de la série et plaira aux adeptes de science-fiction à la Philip K. Dick!

½ /5

[philippe_grenier]

Synopsis du site de Dupuis
Tous aux abris, Nelson est de retour !
Nelson, l'insupportable diablotin orange s'est incrusté dans la vie de Julie, une jeune et jolie célibataire, et de Floyd, un labrador pataud. Nelson n'a pas son pareil pour empoisonner chaque instant de la vie de ses deux victimes favorites. Mais attention, Nelson a largement assez de ressources pour dynamiter le quotidien de tous ceux qui croisent son chemin. Personne n'est à l'abri de cette malédiction orange ! À bon entendeur...

Dans ce quatrième tome de strips du petit diablotin Nelson, le lecteur a droit à une nouvelle collection de gags du protagoniste et de sa famille d'accueil dans laquelle on retrouve de Julie, une jeune demoiselle, ainsi que son chien Floyd.

Tout dans cette bande dessinée rappelle la série Garfield, en commençant avec la couleur du personnage de Nelson, la forme du chien ressemblant étrangement à Odie, la façon de publier en strips et la profondeur de l'humour. Toutefois, il n'y a que le maître familial qui ait été remplacé par une jeune femme pour offrir un minimum de différence.

En résumé, cet album n'est une copie déguisée de l'autre série à immense succès de Jim Davis, mais pour sa défense, il semble que le jeune lectorat l'aime tout de même bien.

/5

[babanosaure]

Contrairement a l'attente ce spin off est très bon. Sur le post de code mc calum il y a avait beaucoup de préjuger comme quoi un spin est toujours moins bon que la série mère et bien la nous avons une exception. Cette série vos totalemnt la série mère. L'histoire est passionante et nous laisse avec de nombreuses intérrogation.

Du point de vu dessin. Il est totalemnt différent de celui de guess mais au fur et a mesure de la lecture on s'y abitu très bien. Le point négatif du dessin c'est qu'il est peut être un peu simplicte a mon goût

Bref un très bon début pour ce spin off

[babanosaure]

Un petit résumer :

Caleb et Mézoké forment un binôme exemplaire : c'est la première fois dans l'histoire de la galaxie que leurs peuples respectifs accèdent à cet honneur. Les Sandjarr, le peuple de Mézoké, s'étaient tenus à l'écart des instances politiques intermondiales jusqu'à ce que les guerres humano-sandjarr éclatent.Les humains avaient été écartés jusqu'à présent des plus hautes instances. Leur binôme revêt donc une importance symbolique.À peine sortis de leurs séances d'entraînement, les voilà embarqués pour leur première mission. Ils partent pour Senestam où un groupe de parias humains tentent d'exploiter illégalement une mine détenue par les Jävlodes.

J'ai trouvé cette série très intéressante c'est de la bonne science fiction. Le scénario est bien ficelle et le dessin est magnifique. Seul point négatif a mon avis c'est la dominance de gris au niveau des couleurs.

[okilebo]

Lu ce matin :

Le Reflexe de Survie, un très beau one-shot comme Etienne Davodeau sait les faire !

A lire !





Enfin la suite !
Amours Fragiles est une série où il se dégage beaucoup d'inteligence et de justesse.
C'est beau et forcément, je conseille !

[riap]

Le 2ème vient de paraître (la couv' n'est pas encore dans la BEL)...et c'est toujours aussi bien. Du grand Tardi : personnages "désentimentalisés", tout est à prendre comme ça vient. Et toujours ce Noir et Blanc impeccable et mis en valeur par la rondeur des traits. Et puis le format est vraiment très agréable à lire. Certes, on ne sait jamais, mais je ne vois pas la sortie en album égaler le plaisir de lecture du Journal, dont le format colle à l'ambiance. Pour les amateurs de Cinoche, ne pas passer à côté de l'édito de Boujut en Une de l'étrangleur...