Le Rescator a écrit:Merci à Marone pour la mise en images, et nous commencerons donc l'épopée par "Guy Lebleu" N°5 :
Version Standard "Guy Lebleu" N°5 "15 Milliards de Diamants" : Edition 2018 de l'album
- Couverture de l'album unique mais sélective avec autocollant
- Page 6 sans mention de N°d'exemplaire / 200 ni signature des deux auteurs sous la forme manuscrite nnn / 200 ni deux paraphes respectifs
- Préfaces (2)
- Planches de la page 7 à 80
- Dossier en fin d'album (8 pages)
Version CANAL BD "Guy Lebleu" N°5 "15 Milliards de Diamants" : Edition 2018 de l'album avec deux différences en regard de la version standard, et enrichie d'une jaquette et d'un ex-libris numéroté de 1 à 200 (même visuel que l'édition "normale", servant de justificatif de tirage)
- Couverture de l'album unique mais sélective sans autocollant
- Ex-Libris portant le logo "Librairies CANAL BD" avec mention de N°d'exemplaire / 200
- Jaquette portant le logo "Librairies CANAL BD" en pied de page avec un visuel pleine page similaire à l'édition classique mais à la nuance du titre positionné en partie basse
- Page 6 avec mention de N°d'exemplaire / 200 mais sans signature des deux auteurs sous la forme manuscrite nnn / 200 et deux paraphes respectifs (Le N° nnn correspond à celui de l'ex-libris également sous la forme manuscrite nnn / 220 mais sans les deux paraphes respectifs)
- Préfaces (2)
- Planches de la page 7 à 80
- Dossier en fin d'album (8 pages)
Synthèse : Le N° ISBN 979-10-95720-05-8 est identique pour les deux versions, mais même si l'autocollant de la version Standard est retiré, la version CANAL BD reste identifiable dans tous les cas par la page 6 spécifique numérotée de 1 à 200 et donc identifiable même sans la présence de la jaquette et/ou de l'ex-libris "Librairies CANAL BD".
yannzeman a écrit:Et bien, me concernant, je préfère le noir et blanc des autres tomes.
ce tome 2 en couleurs ne m'emballe pas du tout !
je le prendrai cependant, car ce serait dommage de louper une histoire de Charlier dessinée par Poïvet.
JYB a écrit:Attention : même dans la seconde aventure de Guy Lebleu/Allô DMA (celle dont on parle), les planches originales sont parfois au lavis, parfois au trait noir sur blanc, et l'album Glénat N&B de 1976 a plus ou moins gommé les différences. Une publication des planches en Noir & blanc à l'identique des originaux montrerait ces différences.
Et même problème que pour le tome 1 : mettre tout en couleur serait compliqué voire impossible si on veut garder une unité dans tout album à venir, tout en conservant la qualité du travail de Poïvet sur ses originaux.
Je n'ai pas vérifié, mais il me semble que - ce serait d'ailleurs logique - le dessinateur Raymond Poïvet est passé au trait N&B quand il a été question de colorier les planches pour leur publication dans Pilote. Au début, en effet, et pour un bon morceau, les planches dans Pilote sont au lavis, parfois en bichromie (N&B + rouge) ; les suivantes - en gros, la seconde moitié de l'histoire - ont été mises en couleur.
JYB a écrit:Fordis aurait donc scanné les pages dans Pilote ? Bizarre autant qu'étrange, car, sauf erreur, les planches originales de Poïvet existent. Quitte à scanner quelque chose, mieux vaut scanner les originaux.
Johnny Fletcher a écrit:Les amis, pourquoi voulez-vous que pour cet ultime tome l'éditeur se mette soudainement à scanner les planches originales alors que pour les 4 précédents albums il ne l'a pas fait, avec le rendu un peu gras et imprécis du trait que l'on peut voir?
Cabarezalonzo a écrit:Oui, tu as raison. Où avais-je la tête ?
Avec des scans de qualité réalisés à partir des originaux, le résultat final pourrait nous piquer les yeux, maintenant que nous sommes habitués au trait pixellisé bien gras des quatre tomes précédents. Nous nous retrouverions dans la situation d'un habitué des enseignes McDo et Burger King qui se verrait soudain privé de graisse, de sucre et de tous les bons additifs et auxiliaires technologiques (ex vitriol ou H2 SO4, qu'il n'est pas légalement obligatoire de mentionner sur l'emballage !) nécessaires à la fabrication de la tortore industrielle, totalement désemparé devant une assiette garnie d'un morceau maigre de sanglier (sauvage, tué à l'arc dans une forêt tropicale) accompagné de lentilles ou de flageolets bio.
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