guiguiche a écrit:C'est le début de l'horreur.
Les philosophes pleurent aussi.
Quant au maths, je me demande bien ce qui va être proposé quand, après 6 mois de classe de seconde, un quart des élèves n'a toujours pas compris pourquoi -6+6 ne valaient pas -12 ...
guiguiche a écrit:C'est le début de l'horreur.
Les philosophes pleurent aussi.
Quant au maths, je me demande bien ce qui va être proposé quand, après 6 mois de classe de seconde, un quart des élèves n'a toujours pas compris pourquoi -6+6 ne valaient pas -12 ...
reddef a écrit:guiguiche a écrit:C'est le début de l'horreur.
Les philosophes pleurent aussi.
Quant au maths, je me demande bien ce qui va être proposé quand, après 6 mois de classe de seconde, un quart des élèves n'a toujours pas compris pourquoi -6+6 ne valaient pas -12 ...
Heu... c'est une blague ?
reddef a écrit:guiguiche a écrit:C'est le début de l'horreur.
Les philosophes pleurent aussi.
Quant au maths, je me demande bien ce qui va être proposé quand, après 6 mois de classe de seconde, un quart des élèves n'a toujours pas compris pourquoi -6+6 ne valaient pas -12 ...
Heu... c'est une blague ?
fanche a écrit:reddef a écrit:guiguiche a écrit:C'est le début de l'horreur.
Les philosophes pleurent aussi.
Quant au maths, je me demande bien ce qui va être proposé quand, après 6 mois de classe de seconde, un quart des élèves n'a toujours pas compris pourquoi -6+6 ne valaient pas -12 ...
Heu... c'est une blague ?
Et moi qui me croyais nul en maths à l'époque
guiguiche a écrit:Je ne blague pas, je suis tout à fait sérieux.
Un collègue l'autre jour à sa classe de seconde : "vous auriez pu simplifier la fraction 6/3 !"
Les élèves en chœur : "mais monsieur, c'est vous qui avez interdit la calculatrice à ce devoir, on ne pouvait pas le faire !!!".
Le Complot a écrit:guiguiche a écrit:Je ne blague pas, je suis tout à fait sérieux.
Un collègue l'autre jour à sa classe de seconde : "vous auriez pu simplifier la fraction 6/3 !"
Les élèves en chœur : "mais monsieur, c'est vous qui avez interdit la calculatrice à ce devoir, on ne pouvait pas le faire !!!".
Bien heureusement je ne fais pas partie de cette génération Z ! Z comme zéro...
toine74 a écrit:Le Complot a écrit:guiguiche a écrit:Je ne blague pas, je suis tout à fait sérieux.
Un collègue l'autre jour à sa classe de seconde : "vous auriez pu simplifier la fraction 6/3 !"
Les élèves en chœur : "mais monsieur, c'est vous qui avez interdit la calculatrice à ce devoir, on ne pouvait pas le faire !!!".
Bien heureusement je ne fais pas partie de cette génération Z ! Z comme zéro...
Pas zéro, deux.
guiguiche a écrit:Il n'y a pas que l'histoire géographie :
Italien (je ne suis pas abonné au Monde mais j'imagine bien la teneur de la suite de cet article)
Philosophie
nexus4 a écrit:Aux précédents prof ? Aux programmes ? A la méthode ?
Ou à la philosophie de l'enfant roi.
LeMoineFou a écrit:nexus4 a écrit:Aux précédents prof ? Aux programmes ? A la méthode ?
Ou à la philosophie de l'enfant roi.
Ou encore : A l'image de l'école dans la société? Au dénigrement constant du système éducatif? Aux écrans? Au manque de sommeil chronique? Aux parents qui s'occupent de moins en moins de l'éducation de leurs enfants? À la société qui prône la richesse économique comme modèle de réussite? Ou peut-être, soyons fous, à un ensemble de tous ces facteurs et d'autres?
Les problèmes de l'école sont un reflet des problèmes sociétaux. On ne pourra pas les résoudre en y apportant seulement des solutions pédagogiques, car ils ne sont pas une cause mais une conséquence, un symptôme.
Mirdhynn a écrit:A lui, pas forcément. L'enfant roi a bon dos. Au "corp(oratisme)s enseignant" par contre sûrement.
J'en ai un eu assez d'entendre les profs se plaindre de la moindre réforme alors que le niveau est en chute constante. Ne changeons rien, tout va bien.
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