dylandog a écrit:question : peut on manger la queue d'un lézard qui s'est détachée toute seule ?
Johnny Fletcher a écrit:Mais lis ce que je dis plutôt que chercher à ergoter
Pouffy a écrit:C'est comme [...] les chrétien qui ne mangent pas de poisson le vendredi.
fanche a écrit:Pouffy a écrit:C'est comme [...] les chrétien qui ne mangent pas de poisson le vendredi.
C'est pas l'inverse, genre c'est que le vendredi qu'ils mangent du poisson?
Brian Addav a écrit:fanche a écrit:Pouffy a écrit:C'est comme [...] les chrétien qui ne mangent pas de poisson le vendredi.
C'est pas l'inverse, genre c'est que le vendredi qu'ils mangent du poisson?
Non non, les chrétiens qui mangent à la cantine, ils ne mangent pas de poisson le vendredi
vincentg a écrit:Toujours à escamoter les questions.Johnny Fletcher a écrit:Effectivement scientifiquement ce sont des animaux (invertébrés) mais on a l'habitude de différencier les animaux des insectes dans nos traditions occidentales. Alors pour être plus précis, j'aurais dû dire que les poux sont des animaux invertébrés dont, à ma connaissance, il n'a pas été encore démontré qu'ils souffrent. Cela ne veut pas dire qu'on n'en aura pas l'assurance un jour prochain mais pour l'heure il s'agit de de s'intéresser (pour y mettre un terme) aux êtres dont la capacité à souffrir par notre faute est avérée.
Explique-nous ta définition de la souffrance, et comment on la constate, comment on la mesure. Tu rajouteras un chapitre sur l’étude de la conscience ou non par ledit être vivant afin de nous fournir une base de discussion saine.
Ensuite tu prendra conscience que le vivant développe des mécanismes de protections dont ce qu'homo sapiens appelle la souffrance fait parti. Ces mécanismes sont indispensable a sa survie.
On n'a certes pas fait d'étude sur le cri de la carotte que l'on rappe, mais il est connu que certains arbres secrètent des substances volatiles destiné a alerté leurs voisins qu'un végan herbivore leur broute les feuilles pour qu'ils génèrent des substances amères destinées à dégouter ledit herbivore. Est-ce une réponse à la douleur, ou juste une forme de communication ?
Pourquoi ne partirions nous pas du principe que tout être vivant souffre, plutôt que se cacher derrière son petit doigt (tu sais les il n'a pas été encore démontré qu'ils souffrent)
Ensuite on abordera le génocide commis en toute conscience par tout ces mangeurs de graines (pauvres embryons en devenir) alors qu'ils pourrait se contenter d'organisme mort de leurs belle mort .
fanche a écrit:Pouffy a écrit:C'est comme [...] les chrétien qui ne mangent pas de poisson le vendredi.
C'est pas l'inverse, genre c'est que le vendredi qu'ils mangent du poisson?
Johnny Fletcher a écrit:Ton ton impératif de petit caporal impressionne peut être ton entourage, moi il m'exaspère. Ton numéro d'acrobate de la rhétorique ferait un meilleur effet au cirque Pinder qu'ici.
Les encyclopédies et les études nombreuses te fourniront les réponses aux fausses questions que tu me poses avec une agressivité mal dissimulée. Fausses, car elles n'appellent pas vraiment une réponse, non, elles servent principalement à tenter de discréditer la question de l'antispécisme. Toi et certains autres ici s'acharnent à ergoter pour savoir quels êtres vivants ou organismes souffrent. Tu peux speculer tant que tu veux sur la capacité à souffrir des végétaux, ton seul but est de coincer l'antispéciste. Si tu lisais attentivement ce que j'ai écrit, tu ne poserais pas ces questions de cette manière.
J'ai dit que la science avait prouvé les capacités des animaux que nous elevons et tuons (entre autres) à ressentir la douleur de la même façon que nous, donne toi la peine de faire la recherche sur le net, ça te prendra 2mn pour en trouver des pelletées. J'ai dit que pour les végétaux, on est davantage dans la spéculation pour l'heure afin savoir s'ils ressentent la douleur et souffrent comme nous l'entendons. Il est possible que cela soit prouvé un jour mais pour l'instant, la question reste en suspend.
Mais tes effets de manche du canivore sur la défensive servent surtout à mettre un projecteur sur des détails pour laisser l'essentiel soigneusementdans l'ombre. Car la vraie question demeure : comment continuer aujourd'hui à produire massivement et de façon barbare de la viande et des produits issus des animaux en persévérant à faire l'économie d'un débat sur la moralité de ces activités ? Je n'oblige personne à arrêter de manger de la chair animale mais il me semble nécessaire d'amener chacun à creuser la question pour ne pas perpétuer une injustice sur le seul motif que c'est une habitude. Et je suis prêt à entendre les solutions que certains pourraient trouver pour parvenir à concilier exploitation massive des animaux et moralité.
En 20 ans, j'ai entendu un millier de fois les mêmes arguments mal fagotés pour justifier l'exploitation animale, emballés dans une agressivité sarcastique révélatrice selon moi d'une certaine inquiétude. Le cri de la carotte ou de la salade par exemple. On m'a traité de tout: de taliban, de nazi, de terroriste. Tu n'es pas le premier et ne sera malheureusement pas le dernier à faire montre d'agressivité. Les antispécistes vous font donc tant peur? J'ai parfois l'impression grâce à vous d'être Taylor, le héros de la planète des singes, devant la volonté de beaucoup de refuser d'aborder certaines questions qui dérangent. Je me demande alors : mais qu'est-ce qui vous fait tant peur pour vous mettre dans un tel état quand on aborde cette question?
ubr84 a écrit:Je pense que vos débats ont besoin d'un peu de rondeur, et je ressors mon conseil de lecture : lisez Baptiste Morizot (commencez par Manière d'être vivant)
Ce philosophe nous donne des clés de lecture intéressantes, ni du côté des extrémistes de la domination de l'homme sur le vivant, ni du côté des fanas du soja.
Quelque part entre, pile à l'endroit où l'important n'est pas l'un ou l'autre mais la relation entre les deux.
Ce qu'il faut défendre ce n'est pas le canard, ou le chasseur; ce qu'il faut défendre c'est l'interdépendance entre le canard, ses proies et ses prédateurs, la rivière, le chasseur etc.
Et réfléchir à un monde où on peut consommer de la viande sans foutre en l'air l'ensemble de la chaine du vivant.
Arthur Pinson a écrit:Manifestement se nourrir de carottes et de laitue ne rend pas aimable.
Rassure toi, tu ne fais peur à personne, c'est juste que tu les brises menu quand tu persévères depuis des jours à vouloir imposer ta doxa incohérente à tout le monde : "je suis antispeciste, ce qui veut dire que je mets l'homme sur un piédestal en considérant qu'il a une morale qui doit le faire agir différemment des animaux", "les insectes ne sont pas des animaux", "ceux qui mangent de la viande sont les mêmes que ceux qui jugent les femmes inférieures"... j'en passe et des meilleures. Mets de l'ordre dans tes idées (ça ,c'est important parce franchement quel gloubi boulga que ta prose), cesse de croire que tu as la science infuse, accepte que d'autres puissent penser différemment de toi et tu verras que tu seras mieux perçu.
Toute ton argumentation se porte sur la souffrance animale, mais tu ne veux regarder que celle ci. Si tu te sens coincé sur le végétal, peut être que le problème est la et que tu ne veux pas le voir.Johnny Fletcher a écrit:Les encyclopédies et les études nombreuses te fourniront les réponses aux fausses questions que tu me poses avec une agressivité mal dissimulée. Fausses, car elles n'appellent pas vraiment une réponse, non, elles servent principalement à tenter de discréditer la question de l'antispécisme. Toi et certains autres ici s'acharnent à ergoter pour savoir quels êtres vivants ou organismes souffrent. Tu peux speculer tant que tu veux sur la capacité à souffrir des végétaux, ton seul but est de coincer l'antispéciste. Si tu lisais attentivement ce que j'ai écrit, tu ne poserais pas ces questions de cette manière.
Et quand tu aura la réponse, tu feras quoi, tu arrêteras de consommer des végétaux ?Johnny Fletcher a écrit:J'ai dit que la science avait prouvé les capacités des animaux que nous elevons et tuons (entre autres) à ressentir la douleur de la même façon que nous, donne toi la peine de faire la recherche sur le net, ça te prendra 2mn pour en trouver des pelletées. J'ai dit que pour les végétaux, on est davantage dans la spéculation pour l'heure afin savoir s'ils ressentent la douleur et souffrent comme nous l'entendons. Il est possible que cela soit prouvé un jour mais pour l'instant, la question reste en suspend.
Omnivore !Johnny Fletcher a écrit:Mais tes effets de manche du canivore sur la défensive servent surtout à mettre un projecteur sur des détails pour laisser l'essentiel soigneusementdans l'ombre.
Qu'est ce qui te fait penser que qu'on cherche a "produire massivement et de façon barbare de la viande et des produits issus des animaux" ? C'est du procès d'intention.Johnny Fletcher a écrit: Car la vraie question demeure : comment continuer aujourd'hui à produire massivement et de façon barbare de la viande et des produits issus des animaux en persévérant à faire l'économie d'un débat sur la moralité de ces activités ?
Johnny Fletcher a écrit:Je n'oblige personne à arrêter de manger de la chair animale morte qu'on a tuée mais il me semble nécessaire d'amener chacun à creuser la question pour ne pas perpétuer une injustice sur le seul motif que c'est une habitude. Et je suis prêt à entendre les solutions que certains pourraient trouver pour parvenir à concilier exploitation massive des animaux et moralité.
Johnny Fletcher a écrit: Le cri de la carotte ou de la salade par exemple.
vincentg a écrit:Qu'est ce qui te fait penser que qu'on cherche a "produire massivement et de façon barbare de la viande et des produits issus des animaux" ? C'est du procès d'intention.
vincentg a écrit:N'est-il pas possible de produire de façon raisonnable a tes yeux ?
Pense tu vraiment que renoncer a "l'exploitation animale" va résoudre les problèmes de l'humanité, en particulier l’exploitation massive et immorale des l'hommes par d'autre ?
Coldo3895 a écrit:Non mais pas besoin d'aller loin.
Les paysans français savaient bien que les animaux souffrent aussi. Faut pas toujours croire les conneries que dit Descartes !
Johnny Fletcher a écrit:Cooltrane a écrit: Ah-ah-ha-ha
T'es carrément tombé dans la marmite à la naissance
Ta prose est l'exemple typique de l'auto-satisfecit du type qui se croit supérieur parce qu'il pense (soi-disant mieux) que les autres
.
Heu.... Comment dire...
J'avoue qu'en lisant tes commentaires qui voisinent avec la paranoïa, j'ai soudainement une auto satisfaction qui me gagne.
Je vais essayer de ne pas t'en vouloir de ne pas savoir lire ce que j'écris sans y projeter tes fantasmes sur les intentions et motivations des antispécistes, il y a sûrement un nœud psychologique qui t'en empêche, un truc indépassable émotionnellement.
J'essaie de voir les choses ainsi pour ne pas te dire plus vertement combien ta façon d'insulter ton interlocuteur en trépignant à la façon d'un Joe Dalton dresse un portrait accablant de ta manière de bâtir ta pensée.
Johnny Fletcher a écrit:Ton ton impératif de petit caporal impressionne peut être ton entourage, moi il m'exaspère. Ton numéro d'acrobate de la rhétorique ferait un meilleur effet au cirque Pinder qu'ici.
Johnny Fletcher a écrit:La solidarité des mangeurs de viande inquiets est absolument remarquable. Permets moi de conserver ton message pour rigoler les soirs d'hiver, tu surpasses (et de loin!) tes camarades dans la paresse intellectuelle.
Vous prenez un ton agressif ou moqueur, parfois les deux à la fois, puis vous vous étonnez quand votre interlocuteur en fait de même.
euh... si vous le dites a écrit:De manière générale, je trouve que le veganisme, auquel je suis très loin d'adhérer, a tout de même le mérite de nous amener à nous questionner sur notre rapport au vivant, sur ce qu'il est devenu pour beaucoup dans nos sociétés modernes.
euh... si vous le dites a écrit:Ce qui me gêne personnellement dans le véganisme, c'est l'approche centrée uniquement sur le bien-être animal.
euh... si vous le dites a écrit:Je préfère pour ma part une vision qui intégre plus harmonieusement les problématiques liées à l'environnement, la santé publique, le bien-être animal,... issues des questionnements et problèmes générés par notre mode de vie en général et notre alimentation en particulier.
euh... si vous le dites a écrit:JCeci dit, se poser des questions sur notre alimentation, même si ça ne fait pas toujours plaisir, ça me parait néanmoins nécessaire.
euh... si vous le dites a écrit:Comme ubr84 l'écrivait avec beaucoup de sagesse
Pourquoi avez-vous signé cette tribune contre l’élevage intensif, écrite par L214 qui plaide en faveur de la suppression de l’élevage ?
La raison est que, comme eux, je suis contre l’élevage intensif. Je trouve que L214 fait bouger les lignes et qu’il tape souvent dans la fourmilière. Et, même si leur but est de ne pas manger de viande du tout, ce qui n’est pas mon cas, je trouvais cela pertinent de m’associer à eux pour cette tribune.
Mais comment mettre de côté leur objectif premier ? C’est votre métier qui est en jeu ?
L214 et moi, nous nous sommes souvent retrouvés sur les plateaux télé, à échanger et à débattre. Cela reste des gens que je considère comme courtois. Je respecte leurs idées, ils respectent les miennes. Et ils savent très bien que je fais un vrai bon boulot de boucher. Alors, je ne partage pas leur but qui est que les gens ne mangent plus de viande. Mais, sur le reste, on se retrouve. Notamment sur le bien-être animal.
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