el lobo loco a écrit:Je ne pense pas que ce soit aux auteurs de jouer aux gendarmes. Ce serait plutôt aux organisateurs de festivals, aux libraires de faire ce taf là... Sinon, on peut aussi demander que les auteurs tiennent la caisse, passe la serpillère le soir, et éteignent en partant...

C'est aux organisateurs de festival de demander à l'auteur le format qu'il préfère, d'en discuter et à l'organisateur de s'arranger pour que ça colle à ce que l'auteur souhaite.
Je ne fais plus de séances en festivals, c'est pénible au possible et long à mourir... Il y a par contre un format que j'aime bien: la séance de dédicace privée: organisée autour d'un café, horaire de passage prédéfini, nombre de dédicace connu à l'avance et discuté avec l'auteur, et l'organisateur fait respecter les règles du jeu. Ca arrange tout le monde: jamais plus de 3 personnes présentes, discussion aisée, auteurs qui ne se sentent pas asphyxiés et certains que l'on ne voit quasi plus ou plus en séances ailleurs se prêtent au jeu et viennent... Système nickel.