Cinéma : Films vus en DVD ou à la télévision

[Le Rescator]

Message précédent :
Tuco pénètre dans Sad Hill. Le frisson ...

[fanche]

Ceci dit, il n’y a pas de VO.

Clint en italien ça n'a pas de prix

[Mr Degryse]

comme c'est la version longue la Vf nous fait des trucs bizarres

Qui n'a aucun intérêt et qui effectivement fout en l'air le doublage avec des voix différentes. Et une qualité d',images moins bonnes.
Le pire est qu'il est aintenant difficile de trouver en qualité optimale la version d',origine car on essaie de nous imposer celle là

[HOCHET Gabriel]

Qui, comme c’est rarement autant le cas, n’a effectivement aucun intérêt…

[pabelbaba]

J'avais emmené un neveu voir cette horrible version au ciné et c'est vraiment la cata. D'ailleurs en DVD/bluray on ne trouve que celle là chez nous je crois.

[Révéler] Spoiler:

Je me suis débrouillé autrement pour pouvoir montrer la vraie version au fiston.

[sergent latrique]

Pris au piège du film de Leone itou. On ne s'en lasse pas. Mais cette version longue avec des doublages de voix qui changent, c'est un tue-film. J'ai cru que le son déconnait au début
Creuse....

[nexus4]

Y a quoi de plus, juste la scène chiante dans les ruines avec les blessés ?

[ptifrise]

Y a quoi de plus, juste la scène chiante dans les ruines avec les blessés ?

La scène où tuco retrouve ses complices
Une scène avec le capitaine devant le pont
Sentensa qui est recruté
Tu connais qui passe le contrôle des confédérés pour trouver la mission des moins

[Le Rescator]

Y a quoi de plus, juste la scène chiante dans les ruines avec les blessés ?

La scène où tuco retrouve ses complices
Une scène avec le capitaine devant le pont
Sentensa qui est recruté
Tu connais qui passe le contrôle des confédérés pour trouver la mission des moins

Ces scènes avaient été retirées par Sergio Leone lui-même de la version italienne lors de la sortie de la version américaine. Pour ces scènes, Eastwood et Wallach ont pu assurer le doublage en VO, mais pas Van Cleef qui était décédé, et les voix de la VF ont changé pour les 3 protagonistes.

[jolan]

Tombé sur "Come Play" un petit film d'horreur qui ne fait pas peur, plutôt métaphorique, à la "Black Mirror", où notre société et ses milliards d'écrans créent des milliards de monstres de solitude qui cherchent à emmener un petit enfant autiste vers un monde de mort.

Avec la jolie Gillian Jacobs.

Mignon en fait (histoire et petit héros)

[Mr Degryse]

Le pire voisin au monde ou A Man Called Otto (Marc Forster, 2023)



Otto Anderson, vieux bougon, n'a plus aucune raison de vivre depuis la mort de sa femme. Alors qu'il s'apprête à en finir, il est dérangé dans ses plans par une famille, jeune et pleine d'énergie, qui s'installe dans la maison voisine.

Sans l'avis de Luc Brunschwig qui en vantait les qualités insoupçonnées, jamais je n'aurais posé une regard sur ce long métrage. L'affiche et le titre français sont particulièrement rédhibitoires. Je ne connaissais pas non plus l'existence du roman ni du film suédois dont ce film semble être un remake-nouvelle adaptation. J'aurais eu tort car le visionnage a été on ne peut agréable. Certes, le film est sur des rails connus. Rien de bien original! Une sorte de Pour le pire et le meilleur avec Hawks à la place de Nicholson. Ou plutôt une variation du début de Là-haut avec un Carl Fredricksen-Ed Asner en chair et en os. L'aspect suicidaire en plus ! Le film aligne les poncifs : Otto le bougon détestable en fait sympathique, les voisins multi ethniques s'entraidant dans l'adversité. Bien entendu comme tous films actuels, on aura aussi des malades handicapés et un couplet pro intégration LGBT. Pourtant le long métrage fonctionne. Du moins sur moi. Il y a un savoir faire indéniable dans l'enchainement et la découverte des péripéties. La qualité d'écriture est là surtout dans les dialogues. Le réalisateur prend le temps de donner vie à chacun des protagonistes. Il y a un saut de foi à faire pour accepter l'acteur jouant Otto dans les flashbacks. Là aussi il réussit néanmoins son coup. La qualité du film doit beaucoup à son casting. Plus que Hawks qui se contente de faire le bougon à la mâchoire serrée et la tristesse en dedans, c'est le reste des acteurs-actrices qui sont parfaitement castés. On s'attache à tout ce petit monde et c'est avec tristesse que je les ai quittés. J'ai pensé aux livres de John Irving.

Loin d 'être un chef d'oeuvre mais idéal pour une soirée pas prise de tête.

[Le Rescator]

Film plutôt bien foutu, et avec l'immense Jason Statham, ce soir sur TF1 que ce "The Meg" 1, datant de 1018, et suivi le 2 août 2023 au cinéma par "The Meg" 2, d'après les romans de Steve Alten dont le septième et dernier devrait justement, aussi, sortir cette année !

- 2018 : The Meg 1 / En Eaux Troubles



- 2023 : The Meg 2 / En Eaux Très Troubles



- ... / ...



Le 04/10/2023, il est même prévu une BD exploitant le thème du Mégalodon !

[nexus4]

Une Histoire vraie ce soir sur arte !
Ca fait un bail que je ne l'ai pas vu. Sans doute au siècle dernier. Je vais pouvoir vérifier ma théorie que le meilleur David Lynch est un Wim Wenders.

[euh... si vous le dites]

Une Histoire vraie ce soir sur arte !
Ca fait un bail que je ne l'ai pas vu. Sans doute au siècle dernier. Je vais pouvoir vérifier ma théorie que le meilleur David Lynch est un Wim Wenders.

Plutôt un film de Mary Sweeney.

[Thierry_2]

C'est oublier que Lynch est un vrai gentil. Si, si

[jolan]

Une Histoire vraie ce soir sur arte !
Ca fait un bail que je ne l'ai pas vu. Sans doute au siècle dernier. Je vais pouvoir vérifier ma théorie que le meilleur David Lynch est un Wim Wenders.

Jamais vu, n'étant pas du tout fan de Lynch.
Mais comme le scénar n'est pas de lui et que j'adore le cinéma road-movie et le cinéma façon Wenders, je tâcherai de le mater

La présence de Harry Dean Stanton doit aider au rapprochement aussi

[euh... si vous le dites]

Jamais vu, n'étant pas du tout fan de Lynch.

Un de plus.


A part ça, ça ressemble pas du tout à du Wenders.
Wenders, c'est le cinéaste de l'errance existentielle.
Y a rien de ça dans The Straight story.
Film qui porte bien le double sens de son titre : l'histoire de Straight vu que le personnage s'appelle Alvin Straight et aussi l'histoire droite, directe pour illustrer le voyage du personnage ou aussi quelque chose comme honnête, simple au sens figuré pour illustrer les qualités du personnage.
Une histoire vraie, c'est encore un titre français à la con.

[jolan]

On ne peut pas aimer tout et tout le monde non plus

Comme je dis souvent "Aimer tout, c'est n'aimer rien"

[euh... si vous le dites]

Comme je dis souvent "Aimer tout, c'est n'aimer rien"

C'est bien vrai.

[euh... si vous le dites]

C'est oublier que Lynch est un vrai gentil. Si, si

Je suis souvent étonné de voir le nombre de gens, même parmi ses fans, qui ne s'en rendent pas compte.
Mais plus que gentil, je dirais qu'il y a chez lui quelque chose d'étranger à tout second degré. Lynch, c'est du pur premier degré, aussi bien dans la noirceur que dans la bluette.

[bru]

Revu ce soir avec un grand plaisir.
Merci de l'avoir signalé.