thyuig a écrit:pabelbaba a écrit:Ce sont des comédies avec un ton particulier. En plus pour Wayne's World il y a tout l'enrobage rock qui en fait une comédie référencée qui demande d'être dans le même délire.
Ca n'est pas étonnant de ne pas rentrer forcément dedans, surtout pour le Big Lebowski où nombreux sont ceux qui ont entendu les autres dire que c'était hilarant et s'attendaient à tout autre chose, passant légitimement à côté.
Comment ça un mec en peignoir qui se fait pisser sur son tapis c'est pas forcément drôle ????
pabelbaba a écrit:Ce sont des comédies avec un ton particulier. En plus pour Wayne's World il y a tout l'enrobage rock qui en fait une comédie référencée qui demande d'être dans le même délire.
Ca n'est pas étonnant de ne pas rentrer forcément dedans, surtout pour le Big Lebowski où nombreux sont ceux qui ont entendu les autres dire que c'était hilarant et s'attendaient à tout autre chose, passant légitimement à côté.
nexus4 a écrit:pabelbaba a écrit:Ce sont des comédies avec un ton particulier. En plus pour Wayne's World il y a tout l'enrobage rock qui en fait une comédie référencée qui demande d'être dans le même délire.
Ca n'est pas étonnant de ne pas rentrer forcément dedans, surtout pour le Big Lebowski où nombreux sont ceux qui ont entendu les autres dire que c'était hilarant et s'attendaient à tout autre chose, passant légitimement à côté.
Wé, c'est comme Sacré Graal, ca doit être drole si on vous a pas raconté le film avant, à plusieurs, en en rigolant encore.
- Et quand il dit "What is your favorite color ?"
- Ah oui, trop drole !!!
- BLUUUUUUUUUEEE !!
- OUahahahaha !
- ET LE LAPIN !
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
...
Toi, en salle, le lendemain.
Aildiin a écrit:Je me rappele j'ai vu Sacre Graal la premiere fois dans une salle de cinema tres petite a Lille.
Apres les 5 premieres minutes je me demandais s'ils s'etaient pas trompes de langue quand ils avaient choisi la bande sous titree...
goneinsane a écrit:- American Honey (2016) "Une adolescente qui n'a plus rien à perdre se joint à une équipe de vendeurs de magazines itinérants et elle est entraînée dans un tourbillon de fête et d'amour alors qu'elle sillonne le pays avec une bande de marginaux."
Road movie. C'est long - 2h40. Et en fin de compte, je ne sais toujours pas s'il y a un message bien précis là-derrière, si ce n'est le portrait de cette amérique profonde dont on a du mal à la reconcilier avec la notion de super puissance.... Et j'aime ce qui est écrit sur l'affiche: "Optimiste et juste simplement magnifique...un film pour cette génération". Et bien merde. Je ne vois pas ce qu'il y a d'optimiste, bien au contraire. Magnifique? Les paysages oui, les humains écervelés, moins. Et le message pour cette génération, c'est lequel?. Pour être libre il faut faire partie d'un club dont les chefs (monsieur et madame) ressemblent à des chefs de sectes ayant trouvés des âmes à baiser (ou maquereau et maquerelle si vous préférez). C'est magnifique, mon cul. Beaucoup de question sans réponses et sujettes à interprétation.
Le Complot a écrit: Et, c’est mal ? De ne pas avoir de réponses sur tout et qu’il y ait un message que tu n’as pas compris ? Ou pis : qu’il n’y ait pas de message ? Rolala, les méchants.
Mr Degryse a écrit:Un must. Ce n'était pas mon préféré ado( toujours eu un faible pour le bon, la brute et le truand à cause du trio) mais avec le temps je crois qu'il était une fois dans l'ouest est le meilleur Leone donc le meilleur western spaghetti
J'en aime beaucoup d'autres mais puree cette ouverture, le visage qui se découvre sur Fonda, la zic, la scène du train, Cheyenne, le duel final, l'harmonica qui tape sur les nerfs mais si logique dans ce flashback qu'on découvre progressivement. Ce son d'un pendu poussant son dernier souffle.quel film!
thyuig a écrit: Comment ça un mec en peignoir qui se fait pisser sur son tapis c'est pas forcément drôle ????
nexus4 a écrit:J'ai revu récemment La révolution et le Bon, la brute et le truand, je crois que ma préférence va à ce dernier.
Mais il y a tellement de belles choses dans Il était une fois dans l'ouest, c'est dur de choisir. Deux plans, aux extrémités du film m'ont marqué. L'envolée musicale de Morricone quand la caméra passe par-dessus le toit pour faire découvrir la ville effervescente. Et Fonda qui regarde fugacement le ciel pendant le duel, appréciant quelques instant la beauté de la vie une dernière fois. Comme si il savait que c'était plié.
Et cette grâce d'Henri Fonda.
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