dod a écrit:"A la rentrée, les jeunes âgés de moins de 21 ans et n'ayant pas obtenu leur CESS (le certificat d'enseignement secondaire supérieur, soit le diplôme de fin de cycle de secondaire) seront privés d'allocations de chômage. "
je n'y vois moi qu'un incitant tout à fait normal ... et je maintiens cela touche les moins formés
Et pour les diplômés de plus de 24 ans ben compte tenu de la durée des études (5 ans à l'unif) je ne vois rien d'anormal surtout que le taux de pénétration sur le marché de l'emploi est bine plus élevé chez les diplômés universitaire
le chômage est une assurance de solidarité pour les gens qui perdu un job je n'ai jamais compris pourquoi les jeunes n'ayant jamais travaillé pouvait y prétendre
mais bref en quoi est-ceune mesure "pure NVA" ??? visant à démanteler l'état fédéral ????
J'en reviens à la problématique du chômage dans son ensemble, Car le cliché qu'à utilisé la NVA pendant de nombreuses années du Wallon ou du francophone profiteur/chômeur a tjs fait mouche du côté de son électorat (opposition également au PS, leur grand satan
), et que si il était au pouvoir on allait diminuer les transferts nord/sud, c'est ce qu'ils ont fait, et c'est déjà un excellent début.
Cooltrane a écrit:dod a écrit:encore d'accord en plus c'est un effet d'aubaine et un piège à l'emploi . Je suis contre toutes ces mesures: cet argent serait plus utile à renforcer la formation.
encore faudrait-il que les étudiants choisissent des formations porteuses d'emploi...
c'est fou le nombre de jeunes universitaire qui font "Scienco-Po" alors que cela ne débouche sur quasi rien, sauf p-ê après qqes années de chomedu, un emploi au Lidl ou Carrefour du coin...
Je réponds également à ton premier message (dod), tous les diplômés universitaires ne trouvent pas nécessairement un emploi quand ils sortent de l'unif.
Coltrane citait sciences-po, mais on pourrait aussi parler de 'La criminologie' (merci CSI
), de 'La communication', ou du 'journaliste'.
Ce sont des formations qui t'offrent un billet direct pour la case chômage, et par rapport à il y a 20 ans, les jeunes ont tendance de plus en plus à faire des études supérieures de longue durée (en plus ils sont rares, ceux qui ont eu la chance de réussir sans avoir raté la moindre année) et d'y rester longtemps (souvent jusqu'à 24 ans , même pour les cycles de type court).
Dans les années futures, ça risque de faire bcp de jeunes qui risquent de tomber dans la précarité.