euh... si vous le dites a écrit:En revanche, quand une personne qui se réclame d'un mouvement progressiste veut, elle aussi, bannir des ouvrages, ça m'interpelle parce que j'estime qu'elle n'est pas dans son rôle. Il y a un décalage entre le progressisme affiché et les moyens mis en oeuvre pour l'atteindre qui me pousse à la réflexion. Et j'avoue que ça m'interpelle au point que ça me donne envie de le commenter et d'en débattre.
euh... si vous le dites a écrit:corbulon a écrit:En revanche, quand une personne qui se réclame d'un mouvement progressiste veut, elle aussi, bannir des ouvrages, ça m'interpelle parce que j'estime qu'elle n'est pas dans son rôle. Il y a un décalage entre le progressisme affiché et les moyens mis en oeuvre pour l'atteindre qui me pousse à la réflexion. Et j'avoue que ça m'interpelle au point que ça me donne envie de le commenter et d'en débattre.
Monsieur Jean a écrit:euh... si vous le dites a écrit:corbulon a écrit:En revanche, quand une personne qui se réclame d'un mouvement progressiste veut, elle aussi, bannir des ouvrages, ça m'interpelle parce que j'estime qu'elle n'est pas dans son rôle. Il y a un décalage entre le progressisme affiché et les moyens mis en oeuvre pour l'atteindre qui me pousse à la réflexion. Et j'avoue que ça m'interpelle au point que ça me donne envie de le commenter et d'en débattre.
En fait, la gauche se comporte comme la droite de jadis. Elle bannit les livres, multiplie les condamnations sommaires, cherche à réécrire les dictionnaires et l'histoire. Elle fait peur cette gauche aux accents totalitaires.
papyjulio a écrit:Monsieur Jean a écrit:euh... si vous le dites a écrit:corbulon a écrit:En revanche, quand une personne qui se réclame d'un mouvement progressiste veut, elle aussi, bannir des ouvrages, ça m'interpelle parce que j'estime qu'elle n'est pas dans son rôle. Il y a un décalage entre le progressisme affiché et les moyens mis en oeuvre pour l'atteindre qui me pousse à la réflexion. Et j'avoue que ça m'interpelle au point que ça me donne envie de le commenter et d'en débattre.
En fait, la gauche se comporte comme la droite de jadis. Elle bannit les livres, multiplie les condamnations sommaires, cherche à réécrire les dictionnaires et l'histoire. Elle fait peur cette gauche aux accents totalitaires.
mmmmh c'est de plus en plus ridicule et caricatural cette discussion...
Monsieur Jean a écrit:En fait, la gauche se comporte comme la droite de jadis. Elle bannit les livres, multiplie les condamnations sommaires, cherche à réécrire les dictionnaires et l'histoire. Elle fait peur cette gauche aux accents totalitaires.
Monsieur Jean a écrit:Il ne faut pas tout confondre, on parle ici d'une extrême gauche, dite woke. Personne ne remet en question la gauche.
christophe6788 a écrit:Monsieur Jean a écrit:En fait, la gauche se comporte comme la droite de jadis. Elle bannit les livres, multiplie les condamnations sommaires, cherche à réécrire les dictionnaires et l'histoire. Elle fait peur cette gauche aux accents totalitaires.Monsieur Jean a écrit:Il ne faut pas tout confondre, on parle ici d'une extrême gauche, dite woke. Personne ne remet en question la gauche.
C'est pour le moins cavalier d'écrire simplement « gauche » puis de reprocher à ses interlocuteurs de ne pas avoir compris qu'il fallait lire « extrême gauche ».
Monsieur Jean a écrit:Il ne faut pas tout confondre, on parle ici d'une extrême gauche, dite woke. Personne ne remet en question la gauche.
Monsieur Jean a écrit:Il ne faut pas tout confondre
Cooltrane a écrit:euh, 'bulon...
tu ne réserverais pas tes polémiques à la con au sujet qui t'es réservé dans le bistro?
Maintenant, que vous faites du ouin-ouin parce que les gros fachos vous retournent vos mots dans vos g... de petits fachos (notamment celles des cancel/burn-wokes), c'est de bonne guerre, je trouve.
Bon, je vais rechercher du popcorn à péter pour le sujet ad-hoc.
USA: un district scolaire bannit le roman graphique "Maus" de son programme
Les autorités scolaires d'un comté du sud des Etats-Unis ont banni le roman graphique sur l'Holocauste au succès planétaire "Maus" pour son contenu jugé "inapproprié", nouvel épisode de la guerre des écoles en cours dans des Etats conservateurs américains.
Dans ce livre, Art Spiegelman raconte les souvenirs de son père rescapé de la Shoah, dans lesquels les juifs sont représentés par des souris, les nazis par des chats.
Récompensé par un prix Pulitzer en 1992, une première pour une bande dessinée, "Maus" a été traduit en plus de vingt langues.
Mais son contenu est "vulgaire et inapproprié" pour des collégiens de 13 ans, a estimé le conseil scolaire du comté de McMinn, dans le Tennessee, qui a voté le 10 janvier pour le retirer du programme en attendant de trouver un autre livre sur l'Holocauste.
"Il y a un langage grossier et désagréable dans ce livre", a expliqué le directeur du conseil, Lee Parkison, selon le compte-rendu de la réunion. Huit mots vulgaires et une image de femme nue sont concernés.
Le livre "montre des gens pendus, des gens qui tuent des enfants. Pourquoi le système éducatif promeut-il ce genre de choses, ce n'est ni sage si sain", a dit l'un des participants.
"Nous ne sommes pas contre l'enseignement de l'Holocauste", a-t-il ajouté. "Je ne nie pas que c'était horrible, brutal et cruel".
D'autres membres du conseil ont défendu le livre. "C'était une bonne façon de dépeindre une période épouvantable de l'Histoire", difficile à enseigner à des enfants qui "ne connaissent même pas le 11-Septembre", a affirmé une ancienne enseignante d'histoire.
Interrogé jeudi par CNN, Art Spiegelman a dit avoir été plongé dans une "confusion totale" avant d'"essayer d'être tolérant avec ces gens qui pourraient ne pas être des nazis" mais "qui se sont concentrés sur quelques mots grossiers".
Alors que le 77e anniversaire de la libération du camp d'extermination nazi d'Auschwitz-Birkenau est marqué jeudi, le Musée de l'Holocauste à Washington a souligné sur son compte Twitter que "Maus" jouait "un rôle vital" pour l'enseignement de la Shoah "en partageant des expériences détaillées et personnelles des victimes et des survivants".
La décision intervient dans un contexte de remise en cause des programmes scolaires dans les Etats conservateurs, qui s'attaquent aux livres traitant de sujets de société clivants comme le racisme ou l'identité de genre.
Un autre classique, "Beloved" de l'Afro-Américaine Toni Morrison, a fait récemment l'objet d'une polémique. Une mère d'élève de Virginie (sud) a affirmé que son fils lycéen avait fait des cauchemars après avoir lu le livre, qui raconte l'histoire d'une ancienne esclave choisissant de tuer son enfant pour éviter qu'il subisse les atrocités de l'esclavage.
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