thyuig a écrit:Si j'habitias l'Ontario, j'irais voir ceci à l'AGO en mars prochain :
YAYOI KUSAMA: INFINITY MIRRORS
crepp a écrit:Perso le truc que je ne capte toujours pas, c'est l'utilisation de certains "matériaux" ou même son corps pour une œuvre.
Utiliser son sang pour faire un tableau, utiliser sa merde pour faire une œuvre, etc etc etc ... T'es pas obligé de prendre tes matières fécales pour représenter le monde de merde dans lequel tu vis, je trouve ça tellement simpliste en fait.
Il y a peu de temps j'ai vu une artiste australienne qui pour montrer que le sexe féminin ne doit pas faire peur, qu'il reste une chose banale, elle tricote à partir de son vagin. Même si sur le fond je comprends l'idée, je trouve que le résultat est plus risible qu'autre chose.
sergent latrique a écrit:Fomidable ! Après l'artiste suisse qui pond des oeufs par la foufoune (Milo Moiré, voir sa page Wikipédia), une sacrée performance !
Yog-volo a écrit:je suis perplexe...
Voilà donc des gens qui se tapent un paquet d'années d'études dans des écoles parfois payantes et toujours difficiles d'accès, et qui, une fois qu'ils en ont bien bavé et qu'ils ont leur diplôme en poche ils se disent... yessss, je vais enfin pouvoir me foutre de la gueule des gens...
et ça paie bien ?
nexus4 a écrit:Et là, faut la petite histoire pour faire pleurer dans les chaumières ou c'est juste un tas de caillou ?
nexus4 a écrit:Et là, faut la petite histoire pour faire pleurer dans les chaumières ou c'est juste un tas de caillou ?
Sinon, il parait que la barque dans les fils était l'une des installations les plus appréciées des visiteurs de la biennale de Venise : Chiharu Shiota
Une petite préférence pour son N&B
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