Ben, ce n'est pas un "prix" de référence, mais un festival.
C'est vous, nous qui parlons de prix de référence.
Le grand Prix, c'est le grand Prix de la ville d'Angoulême pas "du monde de la BD entière".
La sélection, c'est la sélection officielle du festival, pas "la liste des meilleurs albums de l'année".
Le FIBD, il est clair sur ses intentions :
Après avoir, des années durant, milité pour faire entrer le 9e art dans le giron des formes d’expressions respectées et respectables, le Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême, l’événement de référence en France, doit assumer son rôle : il est devenu le seul endroit au monde où l’ensemble de la production internationale, passée, présente et dans une certaine mesure également à venir, se croise. C’est pour cette raison qu’il peut prétendre au titre de plus important hub international de ce médium et qu’il doit continuer de capitaliser sur des acquis historiques afin de s’ériger, chaque année, comme la vitrine de la création contemporaine la plus complète possible.
Il ne se déclare pas prix de référence mais comme vitrine de la diversité de la création.
Cette quote elle vient de l'édito, mais si tu as un lien où le festival se déclare prix de référence, je le veux bien et je reviendrai sur ma position sans problème.
Et désolé, tu as parlé de "foutage de gueule" avant de lire, c'est la définition même d'un a priori = "de prime abord, avant examen approfondi" dit le Larousse.
Pour Beverly, tu fais pareil : tu le concèdes, tu ne l'as pas lu/terminé (mais au moins tu fais l'effort, que je ne ferais peut-être pas), mais tu répètes quand même que c'est du foutage de gueule ? Plus haut un lecteur est intervenu pour en dire du bien, mais son post est totalement transparent.
Après, ne me fais pas rire, des discussions sur les BDGest 'Arts ? J'en vois pas à part les éternelles "j'aurais pas mis ça" ou "j'en ai lu 3/4/8"... Tu en vois beaucoup des retours sur les topics pour dire "tiens j'ai lu ça en le voyant sélectionné, et j'ai aimé/pas aimé" ?
Seulement, BDGest c'est "chez nous", ça vient de chez nous donc on est plus tolérant.