choregraphe a écrit:J'ai arrêté de courir il y a 20 ans, mais je suis surpris de votre pratique
Aucun d'entre vous ne parle de muscu
Alors
1°) Echauffement
2°) Courir
3°) étirement
Si tu cours 3 fois semaines, tu feras 3 séances de muscu abdo, squat a faible charge
et adieu mal au dos et problèmes musculaires
thyuig a écrit:Essayer de battre son "meilleur score" à chaque sortie, c'est le plus sûr moyen de se blesser.
Un footing c'est un footing. Perso, je passe sans mal sous les 45 min aux 10 km et je cours mes footings entre 6'00/km et 7'00/km.
marone222 a écrit:thyuig a écrit:Essayer de battre son "meilleur score" à chaque sortie, c'est le plus sûr moyen de se blesser.
Un footing c'est un footing. Perso, je passe sans mal sous les 45 min aux 10 km et je cours mes footings entre 6'00/km et 7'00/km.
Et tu as continué à t'entrainer comme avant (le confinement) ?
choregraphe a écrit:J'ai arrêté de courir il y a 20 ans, mais je suis surpris de votre pratique
Aucun d'entre vous ne parle de muscu
Alors
1°) Echauffement
2°) Courir
3°) étirement
Si tu cours 3 fois semaines, tu feras 3 séances de muscu abdo, squat a faible charge
et adieu mal au dos et problèmes musculaires
Croaa a écrit:thyuig a écrit:Essayer de battre son "meilleur score" à chaque sortie, c'est le plus sûr moyen de se blesser.
Un footing c'est un footing. Perso, je passe sans mal sous les 45 min aux 10 km et je cours mes footings entre 6'00/km et 7'00/km.
Jee ne cherche pas à battre un reccord, juste à retrouver un certain rythme que j'avais avant ma blessure et qui m'allait bien.
Je me rends compte que courir à + de 6min/km, ne me convient pas. Je souffre beaucoup plus qu'à 5'45/5'50. C'est une histoire de ressenti. Et comme je cours au cardio et pas au chrono, je cherche les sensations.
Surtout que je fais 6 séances de sport par semaine (3 cap et 3 vélo d'appart) et une seule à ce rythme en plus du fractionné. Les autres séances sont en zones confort pour travailler le fond.
nexus4 a écrit:Une question que je me pose (peut-être n'avez vous pas encore le recul ou la contrainte nécessaire pour répondre), c'est : Est-ce vous trouvez que le port du masque en permanence a des répercussion sur vos performances à l'effort ? J'ai vu un peu du tournoi de Cincinnati et je trouve que les joueurs ont l'air rincés au bout de 4 échanges. Je me demande donc si c'est parceque le confinement a empêché l'entrainement (pour des grosses fortunes comme Djokovic j'en doute) ou si la contrainte du masque au quotidien joue sur les perfs.
thyuig a écrit:Bon, un triathlon couru dimanche dernier sans soucis, port du masque jusqu'à la flotte et distanciation sur l'air d'arrivée.
Mais course d'eau libre samedi prochain, au public vraiment confidentiel, annulée ce jour sans autre raison que, je cite :
"Malgré tous ces efforts, nous somme, avec nos partenaires du club du Val de L'Eyre (http://www.v2lnatation.com/) et l'ensemble de nos sponsors obligés d'annuler.
En effet, nous ne pouvons plus vous garantir de concourir dans un contexte sécurisé, respectant l'ensemble des règles sanitaires préconisées."
Bon, l'année dernière il y avait moins de 100 participants au total sur les trois courses (500, 1500 et 3000 m), j'ai vraiment du mal à croire que je puisse toujours aller faire mes courses en sécurité et ne pas pouvoir faire une putain de course d'eau libre avec 30 pèlerins aussi couillons que moi.
Sans déconner, je sature un brin.
Croaa a écrit:Donc le triathlon de Deauville devenu duathlon.
3,5km de cap (dont 500 m dans le sable) + 40 kms de vélo (avec des putains de côtes) sous un petit crachin intermittent mais pas génant (sauf pour la peur de tomber) + 10 kms de cap bien plat.
Le tout en 3h12 + une péritonite
J'avais en effet mal au ventre le dimanche matin mais je pensais à une gastro... Cela ne m'a pas dérangé pendant la course.
Mais le soir cela n'allait pas du tout, j'ai été hospitalisé lundi en urgence et opéré mardi. Suis sorti aujourd'hui.
Le temps n'est pas très bon mais je ne suis pas suffisamment bon à la cap pour faire un temps. Et ce n'est pas mon but. J'ai pris beaucoup de plaisir à faire cette course sans jamais me dire "mais qu'est-ce que je fais là ?!". Donc envie de recommencer.
Et l'ambiance était au top. Franchement, j'adore les triathlons. (moins la péritonite )
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