(totalement hors-sujet mais je réponds)Tout d'abord il faudra me définir ce concept de série de one shot , parce que je ne comprends pas. Or ce n'est pas seulement un problème sémantique puisque ce que je conteste c'est le principe du saucissonnage, et j'ai cité (dans mon autre messages) one shot(donc un seul album par def) ou séries avec personnages récurrents mais histoires complètes. Le reste de ton message prouve une méconnaissance profonde du monde de l'édition au delà des dernières années. Je ne dis pas ça pour t'ennuyer mais de nombreuses séries aujourd'hui classiques ont mis un certain temps avant de s'imposer, Astérix par exemple( premier album tiré à 5000 exemplaires, c'est peu). Et puis à l'époque il y avait une vraie presse Bande dessinée, beaucoup moins de sorties, bref un vrai travail éditorial en amont qui n'existe plus maintenant. Et si Astérix n'avait pas marché et bien il y aurait eu quand même quelques albums, sans aucune frustration, de même qu'il y a trois Oumpah-Pah(ce que je regrette tant j'adore cette série).
Ce n'est absolument pas hors sujet. Car si un Astérix tiré à 5000 en 59 permettait d'envisager la continuité de las érie (il y a avit également la publication en journaux qui aidait) aujourd'hui ce n'est plus forcément le cas. Luc a donné les chiffres, pour un ex de la collec 32 le seuil de rnetabilité tourne aux alentour de 11000/12000. Hors, quand une séire fait 10% de ce chiffre, il est compréhensible que l'éditeur arrête une série. Après on peut chercher les cause où l'on veut, on peut également dire que l'éditeur s'est planté (c'est le cas) mais on ne peut pas dire que l'éditeur fait ça uniquement pour préserver son énorme marge et se fout des lecteurs. POur un roman cela serait la même chose, si les chiffres ne sont pas au rendez-vous, on arrête les frais. Après le niveau de risque et de pertes acceptées est différents selon les projets et les éditeurs. Lancer 5 séries dont aucune (il me semble) n'atteint le seuil de rentabilité et n'en arrêter qu'une seule, si ça ce n'est pas prendre un risque. Je ne sais pas ce qu'il te faut.
Après en effet on peut continuer à jouer sur la mauvaise foi et dire que c'éait meiux avant. Dans ce cas là on retourne lire ses vieux albums et on s'en contente.