Ceci dit, j'ai toujours pensé que réussir à produire de la qualité dans un contexte réduit est le propre des grands scénaristes (on peut aussi excuser ceux qui n'y sont pas arrivé dans ces conditions-là, bien sûr...).
Libérez totalement certains scénaristes... et ils perdent pied ! Car il leur manque ce sens du challenge, ce cadrage clair et cohérent, ils souffrent "d'agoraphobie créatrice" (peur de la page blanche) !
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ça me fait penser à l'atelier d'écriture auquel j'avais participé il y a quatre ans animé par le poète Jean-Pascal DUBOST. Il y expliquait que les poètes actuels se fixent eux-mêmes des contraintes stylistiques pour stimuler leur créativité
Il me semble qu'il appelle ça des contraintes libératrices