je te dis pas l'ambiance... entre T&J et Fournier, entre le rédac chef de 19.. et celui de 19.. Ce sera pire .
C'est clair, d'ailleurs, je me demande s'ils se sont parlés à l'émission "Un monde de bulles"...
je te dis pas l'ambiance... entre T&J et Fournier, entre le rédac chef de 19.. et celui de 19.. Ce sera pire .
Mais pouquoi ce conflit entre T&J et Fournier?
Et Chaland dans tout ça?
Et Chaland dans tout ça?
à lire (de toute urgence) ici >>> http://www.du9.org/Spirou-et-ses-lecteurs#nh5
Histoire de jouer les rabats-joie comme toujours, je trouve dommage, dans le cadre Spirou d'exclure de l'analyse le rôle du journal lui-même, en tant que vitrine du héros suivant les époques, et surtout, le rôle de l'éditeur lui-même, de par sa présence dans certains choix, dans les contraintes qu'il a posé sur certains repreneurs, et dans son support aux auteurs (Franquin), ou son absence de support (M&M).
Si Spirou peut se lire hors du journal sans problème, sa conception, sa création, ses reprises ne peuvent être complètement analysées sans ce lien. (du moins c'est mon avis hein...)
Qq exemples:
[*]Relire les bouquins de Sadoul sur Franquin pour voir comment l'éditeur influençait les choix de Franquin.
[*]Nic et Cauvin, analyser leurs performances ne peut se faire qu'en comprenant la démarche de Dupuis à l'époque.
[*]Morvan et Munuera, où il suffit de suivre l'évolution de leurs albums pour voir que ça a joué.
A titre personnel, je ferai une petite remarque: beaucoup de gens parlent de Spirou comme d'une série des années 50. C'est à mon avis un point de vue d'adulte, qui a digéré l'évolution, les différentes époques de notre histoire.
Quand j'étais gamin, Spirou de Fournier, de T&J, de N&C, c'était maintenant. Celui de Franquin, c'était avant à cause de l'ordre des albums.
Quand j'ai appris, jeune ado, que la série des Z datait des années 50, j'ai été plus que surpris.
Pour moi, Spirou est toujours moderne, dans son propos, ses actions, ses thèmes.
Fin de la parenthèse avis personnel
Hey ! Très juste !je trouve dommage, dans le cadre Spirou d'exclure de l'analyse le rôle du journal lui-même, en tant que vitrine du héros suivant les époques, et surtout, le rôle de l'éditeur lui-même
Ceci dit, j'ai toujours pensé que réussir à produire de la qualité dans un contexte réduit est le propre des grands scénaristes (on peut aussi excuser ceux qui n'y sont pas arrivé dans ces conditions-là, bien sûr...).
Libérez totalement certains scénaristes... et ils perdent pied ! Car il leur manque ce sens du challenge, ce cadrage clair et cohérent, ils souffrent "d'agoraphobie créatrice" (peur de la page blanche) !
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