Vous aurez de mes nouvelles, très bon recueil de nouvelles (genre pas aimé en francophonie) signé Jean-Paul Dubois. C'est drôle, désespéré et toujours bien fignolé (même celles qui ne font qu'une demi-page). Une jolie découverte pour moi.







toine74 a écrit:
Le nom sur le mur de sa nouvelle maison, c'est celui d'André Chaix. Après une mini-enquête, Le Tellier apprend qu'il s'agit d'un jeune Résistant mort en 1944 à 20 ans seulement. L'auteur de L'Anomalie veut en savoir plus et rassemble tous les éléments possibles à propos de cette vie si courte et cette fin tragique alors qu'André combattait les nazis. A cela vient s'ajouter un précis sur le fascisme, une foule de détails divers et variés (culturels, familiaux, philosophiques, etc.). Extraordinaire bouquin à l'écriture fluide portant un message crucial sur la nature des extrêmes. Je recommande![]()
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. Extraordinaire tétralogie contemporaine que je ne peux que recommander. Grave, vivant, terrible, habité à tous les instants, la liste des compliments est sans fin. C'est un gros machin, mais ça vaut vraiment le coup. Au revoir Lénu et Lila, je vous aime.








toine74 a écrit:Et au niveau littéraire, ça vaut quoi ?
(Ce sujet est plus sur la littérature que la politique)

toine74 a écrit:
Bouclé L'amie prodigieuse, je suis tout chose, c'est fini. Extraordinaire tétralogie contemporaine que je ne peux que recommander. Grave, vivant, terrible, habité à tous les instants, la liste des compliments est sans fin. C'est un gros machin, mais ça vaut vraiment le coup. Au revoir Lénu et Lila, je vous aime.
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Julien Despreux a écrit:
Et on ne sait toujours pas qui se cache derrière le pseudonyme d'Elsa Ferrante ?


Julien Despreux a écrit:…
Et on ne sait toujours pas qui se cache derrière le pseudonyme d'Elsa Ferrante ?

nexus4 a écrit:C'est d'autant plus mystérieux pour Elsa.








Vacom a écrit:
Jean-Philippe Toussaint est un auteur que je suis de loin en loin, mais je serais bien incapable de dire à quoi tient, à mes yeux, le charme de ses livres, qui sont souvent difficiles à cerner et à résumer.
Ce titre-ci est un accident ; il ne l’aurait jamais écrit s’il n’y avait eu le confinement instauré suite à l’épidémie de coronavirus. Il s’agit donc d’une sorte de journal, mais l’auteur a la bonne idée de lui donner plus d’ampleur et de consistance : regard en arrière sur sa vie d’homme et d’écrivain, réflexion sur son rapport à l’écriture, au jeu d’échecs qu’il a sporadiquement pratiqué en amateur, ainsi qu’à l’art subtil de la traduction.
J’aime son style, épuré, qui n’est pas sans évoquer chez moi celui de Zweig. De cet auteur, il est d’ailleurs question dans ces pages, Jean-Philippe Toussaint ayant entrepris en parallèle la traduction de sa plus célèbre nouvelle : « Le joueur d’échecs », évidemment.
Le texte est porté par la voix, docte et posée, d’Éric Génovèse. Très belle performance qui met en lumière la sorte de mélancolie heureuse qui émane du récit.

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