rennois a écrit:J'ai lu un Zweig sans style, tu as de la chance
passe par une adaptation BD d'abord, ça passera peut être mieux
rennois a écrit:J'ai lu un Zweig sans style, tu as de la chance

rennois a écrit:J'ai lu un Zweig sans style, tu as de la chance







Bien sûr, vous me direz, le pouvoir d'achat des masses se trouve diminué. Ce que j'ai donné aux ouvriers d'un côté, je leur enlève de l'autre.

rennois a écrit:Donc...
Il est fort probable que je n'ai pas appréhendé Zweig avec le bouquin idoine.

rennois a écrit:J'ai lu un Zweig sans style, tu as de la chance

euh... si vous le dites a écrit:Etrange d'entamer Zweig par là. C'est un peu comme débuter Kafka avec Le château.

MLH a écrit:euh... si vous le dites a écrit:Etrange d'entamer Zweig par là. C'est un peu comme débuter Kafka avec Le château.
Comme on veut découvrir un auteur on ne réfléchit pas forcément par où commencer surtout quand il a écrit de nombreuses nouvelles. Cela n'a rien d'étrange pour moi

MLH a écrit:euh... si vous le dites a écrit:Etrange d'entamer Zweig par là. C'est un peu comme débuter Kafka avec Le château.
Comme on veut découvrir un auteur on ne réfléchit pas forcément par où commencer surtout quand il a écrit de nombreuses nouvelles. Cela n'a rien d'étrange pour moi

rennois a écrit:MLH a écrit:euh... si vous le dites a écrit:Etrange d'entamer Zweig par là. C'est un peu comme débuter Kafka avec Le château.
Comme on veut découvrir un auteur on ne réfléchit pas forcément par où commencer surtout quand il a écrit de nombreuses nouvelles. Cela n'a rien d'étrange pour moi
Exactement. A cette nuance que sur le coup, pris par la fin, pensant découvrir la quintessence d'une vie, certes courte, de plume ( sans omettre la vie de l'auteur tout court, découverte wiki pour ma part, je l'avoue ). Pas d'adhésion, mais je n'ai sans doute pas déroulé le bon fil



rennois a écrit:Avec "V", il liera l'ensemble, pour un succès largement mérité ( de mon point de vue, car je crois que certains ici le trouvent Bof )


Alexandre Scherbius est un imposteur compulsif. Après une dernière imposture qui a mal tourné, il est contraint de cosulter un psychiatre. Ce dernier reconstitue sa vie et tente de decrypter le mystère Scherbius. C'est du Antoine Bello. On sait donc qu'il y aura des surprises, des chausses-trappes, des faux-semblants... alors, on s'amuse, on essaye de trouver le loup, on pense le deviner tout en sachant que celui que Bello agite devant nos yeux n'est sans doute qu'une fausse piste. En attendant d'arriver au bout, je m'amuse, comme toujours avec cet auteur.







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