l'article est réservé aux abonnés, mais la partie en libre accès me fait doucement rigoler
[...]Et c’est ainsi que Dicker est devenu un auteur de best-sellers francophones aux côtés de Marc Levy, Guillaume Musso, Katherine Pancol et autres producteurs de fictions easy reading – faciles à lire, comme il est une musique easy listening, facile à écouter.
Cependant, à la différence de ces derniers, l’auteur suisse s’est vu reconnaître un statut d’écrivain. La Vérité…, son deuxième roman et premier gros succès, a reçu en 2012 le Grand Prix de l’Académie française, a été retenu sur les listes du Femina, de l’Interallié et du Goncourt – jusqu’au carré final dans ce dernier cas. Il a décroché le prix Goncourt des lycéens et été élu Meilleur roman français de l’année par le magazine Lire.
Stupéfaction d’une partie de la critique, celle pour laquelle la prose de Dicker n’est qu’une longue averse de clichés et de poncifs émaillée de dialogues indigents. Satisfaction de l’autre, applaudissant le couronnement d’un auteur de romans populaires à l’écriture fluide et à l’indéniable sens du suspense.[...]
donc, écrire des livres ne suffirait pas à être unn écrivain ?
jamais lu Dicker, donc je ne peux pas juger de sa prose, mais sur le principe, je suis perplexe. C'est quoi, un écrivain ?