'A y est !
J'y reviendrai un peu plus souvent, du coup.
zanzibar a écrit:-
Tu lis de ces trucs gotlib-fan, des trucs que je n'ai ni envie de lire, ni envie de relire, ni envie de m'imaginer lire ces trucs...
Pourquoi
zanzibar a écrit:-
Tu lis de ces trucs gotlib-fan, des trucs que je n'ai ni envie de lire, ni envie de relire, ni envie de m'imaginer lire ces trucs...
L’histoire d’un groupe de fuyards après l’attaque de leur village. Les interrogatoires de plusieurs femmes par des militaires, puis le récit de leur évasion. La quête d’un homme qui retourne dans son village pour y déterrer les morts de sa famille pris dans la terre gelée. En surplomb de ces différentes actions : le monologue mi-prophétique mi-halluciné d’un tireur embusqué.
Sniper est un livre de guerre. Une guerre qui n’est pas située, mais que l’on sent proche de nous. Le texte va à l’essentiel : les horreurs, les visions que ces horreurs suscitent, ce que l’humain immergé dans ces horreurs et ces visions devient. En poussant la représentation de la guerre aussi loin, Pavel Hak permet une réflexion sur la guerre dont on connaît peu d’équivalents.
gotlib-fan a écrit:Trop réaliste, trop ancré dans quelque chose qui m'intéresse peu
Cela dit, si un jour "je l'trouve à bon prix ou si on me l'offre ou s'il est à une bibli", paf. Y m'échappera pas. Mais j'en doute.
fleur a écrit:Là je suis dans Smilla et l'amour de la neige
C'est en 1970 que le ciel tombe sur la tête de Medhi Khatib. Ebloui par l'intelligence et la boulimie de lecture de son jeune élève, son instituteur s'est battu comme un lion pour lui obtenir une bourse d'interne dans le prestigieux lycée Lyautey de Casablanca, réservé aux enfants des hauts fonctionnaires français et des familles les plus influentes du régime marocain. Medhi a passé ses dix premières années au pied de l'Atlas. Pauvre, libre, heureux, choyé par une mère imprégnée de culture ancestrale et par un père ... Lire la suite qui rêve pour son pays d'un avenir démocratique et moderne, il n'envisageait rien d'autre que de continuer à jouir de l'existence et de se repaître de ces livres merveilleux dont l'abreuvait son instituteur. Du jour où l'un de ses oncles l'abandonne à l'entrée du lycée Lyautey, en lui fourrant dans les bras une paire de dindons qu'il est censé offrir au responsable de l'établissement, la vie de Medhi change de dimension.
Les jours passent, des individus mystérieux bouleversent son existence, des situations étonnantes se succèdent et Medhi doit se rendre à l'évidence : il ne comprend rien ! Ni la vie qu'il a menée dans sa famille, ni les mots qu'il a appris dans tous ces livres qu'il adore ne sont en mesure de l'aider. Pourtant, il s'accroche. Et, au bout de quelques semaines, au moment où il commence à s'habituer à cet univers, une nouvelle épreuve lui est infligée. Il est l'unique interne du lycée qui ne rentre pas chez lui le week-end et le directeur, refusant de mobiliser trois personnes pour un seul élève pendant les vacances de la Toussaint, lui demande tout à trac quel est son meilleur ami. Medhi, au hasard, donne le nom d'un camarade qu'il connaît à peine. Le père de ce garçon, touché par la situation de Medhi, accepte de le prendre chez lui pendant les week-ends. Peut-être espère-t-il changer les idées de sa femme qui ne se remet pas de la perte d'un de leurs deux fils.
Avec cet humour corrosif qu'on lui connaît, Fouad Laroui raconte le terrible choc culturel que représente pour ce modeste petit Marocain la découverte du mode de vie des Français : ces gens invraisemblables qui vivent dans un luxe inouï, qui mangent des choses dégoûtantes, qui parlent sans la moindre pudeur des sujets les plus sacrilèges et lui manifestent une tendresse et un intérêt qu'il ne comprend absolument pas. Le jour viendra où l'enfant devra choisir entre le paradis qu'on lui promet et sa famille d'origine.
chapitre.com
« La tombe des lucioles » est un roman quasi autobiographique d’un des plus grands écrivains japonais de l’après-guerre. Dans ce livre, NOSAKA nous fait vivre l’effroyable bombardement que connut Kobe en 1945 sous les traits de deux enfants : Seita ( un jeune garçon de 14 ans) et sa petite sœur Setsuko. Les deux enfants se retrouvent complètement perdus dans un Kobe dévasté par la guerre, et la mère n’étant plus qu’un amas de chair calcinée, Seita se voit dans l’obligation de subvenir aux besoins de sa petite sœur. Mais vivre dans un monde qui n ‘a plus de lois, un monde dans lequel seuls les plus résistants peuvent encore espérer s’en sortir n’est pas un monde pour les enfants ; les enfants ont besoin de rêves et de jeux, et c’est ce que tentera Seita : Faire vivre à sa petite sœur la vie qui aurait dû être celle d’une petite fille.
© La littérature japonaise
MLH a écrit:Une nouvelle qui a été adapté dans le film d'animation éponyme (enfin presque). C'est très poignant.
Coldo3895 a écrit:Moi qui aime bien les livres de science, je suis en train de lire ça...
Guerres et paix chez les atomes
Olaf Le Bou a écrit:M'a l'air intéressante cette histoire racontée du point de vue de la chimie, vais zieuter ça.
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