MLH a écrit:Ça va toujours Ulys ?
Un petit chat, qui n'a pas de nom, se retrouve dans le jardin du professeur Kushami dans la ville d'Edo (ancien nom de Tōkyō). Adopté par ce dernier, il devient le chat de la maison. Doté d'une grande fierté, le chat est souvent indigné de la façon dont on le traite et juge rapidement les humains comme des bêtes étranges et inconstantes. Il est par ailleurs étonnamment cultivé, il bénéficie d'une sorte d'omniscience encyclopédique.
Au fur et à mesure du roman, des personnages, tous plus caricaturaux les uns que les autres, défilent chez Kushami, et c'est là une belle occasion de dépeindre la société japonaise en pleine mutation pendant cette ère Meiji. Il y a là Meitei, l'étudiant fantasque et pédant, Kangetsu le doctorant original, et une foule d'autres visiteurs. Sans compter bien sûr la propre famille de Kushami avec sa femme, ses deux filles et O-San la bonne.
Sōseki développe ensuite une petite intrigue autour du mariage de Kangetsu avec la fille d'un riche marchand voisin. Il en profite pour critiquer le monde financier qui est en train de se créer à cette époque.
Lassé par ce feuilleton qui allait devenir le roman Je suis un chat, Sōseki y mit fin un peu brutalement, non sans y faire un dernier clin d'œil au grotesque de l'existence (Wikipedia).
9 juin 1865. Charles Dickens, alors âgé de 53 ans et au faîte de son art et de sa gloire, regagne Londres en secret en compagnie de sa maîtresse à bord du train de marée. Soudain, à Staplehurst, l'Express déraille. Tous les wagons de première classe s'écrasent en contrebas du pont, à l'exception de celui de Dickens. Indemne, "l'écrivain le plus célèbre du monde", comme on le surnomme, tente de se porter au secours des survivants. Au fond du ravin, sa route croise celle d'un personnage à l'allure spectrale qui va désormais l'obséder : Drood. De retour à Londres, Dickens confie le secret de son étrange rencontre à son ami Wilkie Collins, écrivain lui aussi, à qui il reviendra de relater les dernières années de la vie de celui qu'il appelle, avec autant d'admiration que d'ironie, l'Inimitable. A la poursuite de Dickens, qui a cessé d'écrire pour hanter les bas-fonds - cryptes, cimetières et catacombes - de Londres, Collins cherche à comprendre quels rapports unissent désormais l'Inimitable et l'inquiétant Drood. Mais peut-on vraiment porter foi au récit halluciné de Collins, opiomane en proie à la paranoïa ? Inspiré par Le Mystère d'Edwin Drood, le roman mythique que Dickens laissa inachevé à sa mort en 1870 - cinq ans jour pour jour après son accident de train -, Drood nous entraîne dans le Londres interlope de Jack l'Eventreur et des sciences occultes. Huit cents pages de frisson et d'envoûtement garantis. Haletant, complexe et étourdissant, le nouveau chef-d'œuvre de Dan Simmons fera bientôt l'objet d'une adaptation cinématographique réalisée par Guillermo del Toro
gotlib-fan a écrit:Je préfère ça :
Corto Jyl a écrit:Ce soir j'attaque Drood de Dan Simmons
Je sens que je vais aimer
Corto Jyl a écrit:Ce soir j'attaque Drood de Dan Simmons
amadigi a écrit:Corto Jyl a écrit:Ce soir j'attaque Drood de Dan Simmons
Je sens que je vais aimer
Un nouveau Dan Simmons, merci de l'info
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