Ah oui, ça m'a marqué, ça, le choix parfait pour jouer Robicheaux



xof 24 a écrit:Voilà j'ai donc fini Millenium T4
Beaucoup plus aisé à lire que les tomes précédent
...






rennois a écrit:et la grande souffrance que cette bataille a causé aux belges, entre autres. Mais aussi l'ambivalence des habitants dans beaucoup d'endroits, il faut bien l'avouer.


Croaa a écrit:
Je viens de finir "Pas pleurer" de Lydie Salvayre.
Cela faisait une éternité que je n'avais pas lu un de ses romans.
Incroyable cette maitrise de l'écriture. Elle s’affranchit de quasiment toute ponctuation et cela coule comme un verre de St Nicolas de Bourgueil en apéro d'un barbecue.
Splendide.
Le thème : Le récit de la vision de la guerre d'Espagne par sa mère en 1936/37 alors qu'elle avait 16/17 ans avec en parallèle la prise de conscience de la barbarie des nationalistes par Bernanos.
Juste Magnifique.

rennois a écrit:Merci des précisions pour tous![]()
( dans la description du livre, je ne pouvais evidemment entrer dans certains détails que relate Beevor, sous peine d'assommer tout le monde dans le particularisme )



Le Tapir a écrit:J'espère juste que son écriture est moins insipide que le Saint-Nicolas de Bourgueil!![]()


rennois a écrit:Il faudra que je m'y penche, avec un historien qui n'occulte rien dans son ouvrage, et sans parti pris dans les particularismes de culture et de langue du pays

Olaf Le Bou a écrit:Le Tapir a écrit:J'espère juste que son écriture est moins insipide que le Saint-Nicolas de Bourgueil!![]()
mouarf, je m'étais fait exactement la même réflexion

rennois a écrit:
Du brutal, dans tous les sens du terme !
L'historien Antony Beevor avait déjà réalisé une monumentale bio de la seconde guerre mondiale, que d'aucuns estiment définitive ( en poche, 1350 pages, j'avais beaucoup de mal à la tenir dans une main).
Il décrypte ici un des évènements marquants de cette guerre, sur 700 pages...













sergent latrique a écrit:Après un Simenon mettant en scène Maigret ("Félicie est là"), Georges Perec, La disparition, roman lipogramme qui omet la lettre E que je souhaitais découvrir depuis longtemps. Un tour de force certainement, une prise de tête sûrement, un travail de titan; mais si l'exercice est admirable, le roman en lui-même est déroutant, plus tourné vers l'accomplissement de l'oeuvre sous contrainte que d'un sujet.
Bref, un sentiment partagé entre admiration linguistique et une sorte de déception sur la litanie des scènes souvent absurdes. Du Perec.

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