
edgarmint a écrit:Je ne peux te dire, mais ton propos me rappelle que j'ai dans mes envies Les souffrances du jeune Werther. Envie venu de la lecture d'un article de P. Bienvault, pour le journal La Croix, évoquant "l'effet Werther" (l'extrait en question ci-dessous).
L’objectif est de prévenir « l’effet Werther », théorisé en 1982 par le sociologue américain David Phillips à propos du livre de Goethe, Les souffrances du jeune Werther, paru en 1774. L’ouvrage raconte les déconvenues d’un jeune amoureux éconduit, Werther, qui finit par se suicider d’une balle dans la tête. Après la sortie du livre, l’Allemagne avait connu une vague de suicides par arme à feu chez les jeunes hommes. Plus de deux cents ans plus tard, David Phillips avait introduit la notion « d’effet Werther » en constatant une augmentation significative du taux de suicide chaque fois qu’un fait divers, évoquant une mort volontaire, faisait les gros titres du New York Times.









sergent latrique a écrit:Camus, j'ai découvert au lycée avec la chute. Ce ne fut pas une révélation, plutôt un pensum sous forme de ce long monologue .
Et c'est dommage d'ailleurs parce que souvent le fait de lire un bouquin imposé et pas toujours très accessible (s'agissant de grands auteurs passés à la postérité et toujours morts) ne facilite pas l'apprentissage et le goût pour la littérature.
Lire des oeuvres contemporaines et rencontrer des auteurs vivants (ça se fait de plus en plus apparemment dans des petites classes avec des oeuvres pour enfants) me semble une démarche beaucoup plus intéressante qui permet d'entrer en douceur dans le monde des livres.
J'ai redécouvert des années plus tard Camus, mais pour moi-même avec la peste, l'étranger, et c'était totalement différent comme ressenti. De Zweig, j'ai du lire Amok et 24 heures de la vie d'une femme, pas beaucoup, mais ce sont des pépites à chaque fois.
















rennois a écrit:Thomas Cook est un raconteur hors-paire

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