toine74 a écrit:
La concession du téléphone, roman pseudo-historique d'Andrea Camillieri, (donc pas une enquête du commissaire Montalbano ). Un récit bien barré où les malentendus et quiproquos se succèdent sans cesse sur fond de Sicile de la fin du XIXe siècle. La forme très originale ("chapitres" dialogués alternent avec séries d'échange épistolaire au style daté et délicieux), une galerie de personnages hilarante et toute les combinazione possibles et originales. Vraiment très bon
Jour et nuit, au travail et dans la rue - à trente-trois ans d'âge, et il rôde toujours dans les rues, avec les yeux hors de la tête. Un vrai miracle qu'il n'ait pas été réduit en bouillie par un taxi étant donné la façon dont il traverse les grandes artères de Manhattan à l'heure du déjeuner. Trente-trois ans, et toujours à mater et à se monter le bourrichon sur chaque fille qui croise les jambes en face de lui dans le métro.
Elle vit seule avec ses deux petits garçons et pour la première fois les emmène en vacances. Cette escapade doit être une fête, elle le veut, elle le dit, elle essaie de le dire. Ensemble ils vont donc prendre le car, en pleine nuit, sous la pluie. Les enfants sont inquiets : partir en période scolaire, partir en pleine semaine, partir en hiver à la mer les dérange.
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 0 invités