pabelbaba a écrit:C'est à dire qu'ensuite j'ai lu les récits de jeunesse de Céline et Bukowski et c'était autrement plus intéressant.
rennois a écrit:J'ai fait une recherche sur ce topic, histoire de voir si un de nos acolytes de lecture avait déjà chroniqué du rankin : j'ai été servi, débouchant sur une critique totalement assassine de e m datant de 4 ans, concernant un livre que l'auteur publiait sous pseudo ( celui de sa femme )...
thyuig a écrit:J'en ai lu un cet été également, il me semblait en avoir parlé ici... mais peut-être pas.
J'avais pas aimé non plus, ais je gage que c'est surtout par méconnaissance de la série.
Il s'agissait du Carnet Noir.
Autant l'avouer d'emblée : la sauce n'a pas pris !
Et pourtant il y avait tous les ingrédients pour me choper, pour me titiller l'intérêt.
Mais nope, nada, rien.
D'abord, je n'ai rien pipé de l'intrigue, de ses tenants et aboutissants.
La faute à qui ?
A moi sans doute. On ne prend pas une série par son milieu et surtout pas une série policière quand celle-ci a mis une dizaine de romans à poser ses personnages.
C'est de ma faut mais que voulez-vous, le Carnet noir s'est présenté et ça a été lui, pour le meilleur et pour le pire.
Du reste, je n'ai pas grand chose à reprocher au roman sinon son côté abscons et fouillis, mêle-tout, échevelé ? Sans doute la tâche de délier la sauce m'aurait-elle paru plus aisé si seulement j'avais au préalable été présenté à l'honorable inspecteur Rebus.
A retenté par le menu, en commençant par l'apéro si possible, un jour où le coeur et le ventre se présenteront ensemble à mon appétit. Alors je dévorerai avec plaisir les nombreuses répliques de la première secousse, ou du moins tenterais-je de dénouer les premiers liens, ceux de L'Étrangleur d'Édimbourg et commencerais ainsi par le juste début.
Thierry_2 a écrit:
Une nigériane émigrée aux USA décortique les implications de la race dans la société américaine avec d'autant plus de distancer qu'elle n'a pris conscience de la couleur de sa peau qu'en débarquant aux USA. Roman dense et indispensable, magnifique portrait de femme, histoire d'amour pas neuneu... un grand roman qui nous force à explorer une autre prespective. Celle de ceux qui ne sont pas dans la "norme". Et je précise qu'Americanah n'est pas un roman militant au sens primaire. Chimamanda Ngozi Adichie ne revendique rien. Elle expose une situation et crée un des plus beaux personnages littéraire qu'il m'ait été donné de découvrir depuis longtemps.
"Le mot est rapporté par Stendhal dans La vie d'Henri Brulard que je lisais à Anghiari quand Roger est mort. De sa fille décédée à treize ans, le duc de Broglie disait : "il me semble que ma fille est en Amérique." Il me semble désormais que Roger est en Italie."
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