e m a écrit:(c'est l'éditeur qui impose que quand ça se passe sur une autre planètes on a toujours des noms pas possibles du genre Taluhaulx-Orghizt Meblokrthoeml ?! Ils ne peuvent pas s'appeler Michel ou Claudine tout simplement ?!)
Chaque jour, Anatole s'interroge. Que peut bien raconter cette fillette, sous le bouleau de la cour de l'immeuble, aux fourmis et aux chats ? Un soir, Le Petit Prince à la main, le vieux professeur de français se résout à l'approcher : « Tu connais ? » Manon, huit ans, n'hésite pas longtemps. Depuis que sa mère est partie, elle n'a plus grand monde à qui parler. Peu à peu, leurs solitudes s'apprivoisent. Et leur drôle d'amitié, née dans un bout de jardin, n'en est qu'au début de leur bout de chemin...
rennois a écrit:Je ne lirai pas les 2 autres livres qui ont continués SILO : d'une part pour garder la part de mystère en mes propres conclusions sur la génèse de tout cela et la suite de ce que j'ai lu. Mais aussi parce qu' une fois sorti du bois avec ce livre, l'auteur a écrit les 2 autres sous la commande de son éditeur. D'ou contrainte, quelque part...
Pendant de nombreuses années, une bonne partie de l’intelligentsia occidentale – en France surtout – s’enflamma pour l’utopie maoïste. Jusqu’au jour où une voix isolée, celle de Simon Leys, clama son indignation : témoin de la réalité atroce de la « Révolution culturelle », ce brillant sinologue sortit de sa réserve pour en dénoncer le caractère totalitaire et meurtrier.
D’abord accueillis par la calomnie, les essais sur la Chine de Simon Leys se sont bientôt imposés comme des références par leur clairvoyance et l’élégance de leur style satirique. Puis on a découvert la subtilité de ce lettré cosmopolite vivant en compagnie de Confucius ou Cervantès, Tchekhov ou Stendhal, Conrad ou Chesterton, Orwell ou Lu Xun, et tant d’autres encore. Qu’il s’agisse de littérature, de peinture, de la mer, des îles, mais aussi du bon (et mauvais) goût, du succès, du jargon, de la paresse, de l’imagination, de la beauté, de la vérité, du catholicisme : Simon Leys, de son exil australien, savait comme nul autre nous instruire et nous enchanter, nous faire rêver et méditer.
Cet essai montre comment la lecture de Simon Leys (1935-2014) a été et reste un parapluie unique contre la folie des idéologies, la sottise et l’esprit de sérieux. Pourquoi ce rebelle aux modes a-t-il été traité avec un incroyable mépris ? Quel a été le parcours intellectuel de ce grand « interprète traducteur » de la civilisation chinoise ? Et pourquoi son oeuvre a-t-elle une coloration si singulière et attachante ?
nexus4 a écrit:Session Hugo de rattrapage pour l'été.
Redshirts :
Décevant pour un Hugo, c'est vraiment de la petite littérature. C'est astucieux, distrayant mais ca pisse pas loin.
Morwenna :
Alors là c'est fin, c'est plein d'ironie, et très bien écrit. Ca necessite sans doute une certaine culture SF pour profiter à plein de la complicité proposée par le récit. Vraiment bien.
Je pars sur La fille automate, là.
nexus4 a écrit:Bon, la fille automate c'est de la grosse SF avec un mot sur cinq que tu comprends pas. Classique des années fin 90-2000. J'y retourne.
Dites, pour ceux qui savent, Les enfants du ciel, c'est la suite D'un feu sur l'abyme ? C'est y bien ?
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