LEAUTAUD a écrit:D'accord avec ton sentiment , Dignus !
La différence c'est l'accent de vérité que génére le vécu...et ici , il pèse son poids !
C'est même incroyable. Les terribles combats et souffrances endurés sur le front de l'est sont inimaginables.
En le lisant, je repensais au Stalingrad de Vilsmaier ou au Croix de fer de Peckinpah. Mais ces deux films n'ont pas ce vécu impitoyable que l'on reçoit en pleine gueule.
J'avais beau avoir lu beaucoup de chose sur les batailles du front de l'est, Tcherkassy, Koursk, Charkov et j'en passe, lu des bouquins sur les divisions SS (Wiking, Charlemagne, Wallonie), Grossdeutschand et autres troupes d'élite, Le soldat oublié est une énorme baffe. Ce qu'a vécu Dimitri est incroyable. J'ai essayé d'imaginer sa vie, ses ressentiments et ses réactions après la guerre. A-t-il essayé de retrouvé ses camarades de la GD ?
Tiens j'en profite, quelle est cette édition illustrée dont tu parles ?