LEAUTAUD a écrit:Grâce au Monde j'apprends un fait qui a son importance : le brigadier et les deux agents incriminés appartiennent au commissariat du quartier !
Donc pour moi il ne fait aucun doute qu'il existait un contentieux entre eux et les membres de ce studio d'enregistrement
Ma main a couper que l'enquête en fera état.
Par ailleurs j'ai revisionné la vidéo et j'observe que celui qui entre le premier dans le studio c'est la victime en entraînant avec lui un policier qui l'agrippe, puis les autres. Il résiste physiquement au contrôle (c'est un grand gabarit, impressionnant dit de lui une voisine journaliste entendue à la radio ce matin), difficilement maîtrisable.
L'enquête devra bien séquencer l'action depuis le début (nous n'avons pas les images de l'interpellation et de ce qui en a suivi), mais une fois la victime entrée dans son studio, les images sont là.
Mon interrogation depuis le début (voir post plus haut : comment se fait-il qu'à 3 les policiers n'ont pu empêcher le gars de rentrer dans son studio (où étaient 9 de ses copains) ?
C'est un des points clés de l'affaire, car elle signe l'échec de l'interpellation sur la voie publique (encore une fois, comment ces 3 agents de la BAC ont-ils pu échouer ?
Ensuite, le gars opposant toujours son inertie, impossible de le déloger sauf par la force. Et là...dérapage ! il va s'en prendre plein la gueule !
Quel est l'objectif poursuivi depuis le début par les policiers ? Une interpellation pour défaut de masque, et résistance. L'action est donc fondée en droit, mais elle n'aboutit pas et s'achève en tabassage.
Je reste très intéressé par le contenu détaillé de l'enquête en cours.
nexus4 a écrit:Ahhhh ! Enfin le grand colloque tant attendu !
Vous avez manqué Hold Up, vous pourrez vous rattraper avec L'union fait la santé !
Didier Raoult, Luc Montagnier, Christian Perronne, Jean-François Toussaint.
Du rêve en barre.
pabelbaba a écrit:Un autre exemple dont on n'a pas parlé plus que ça.
De son côté, Leila N. avait déposé plainte auprès de l'IGPN pour ce qu'elle considère être des violences policières. Cette plainte a été classé sans suite.
nexus4 a écrit:Ahhhh ! Enfin le grand colloque tant attendu !
Vous avez manqué Hold Up, vous pourrez vous rattraper avec L'union fait la santé !
Didier Raoult, Luc Montagnier, Christian Perronne, Jean-François Toussaint.
Du rêve en barre.
Brian Addav a écrit:pabelbaba a écrit:Un autre exemple dont on n'a pas parlé plus que ça.
Avec la cerise sur le gâteau :De son côté, Leila N. avait déposé plainte auprès de l'IGPN pour ce qu'elle considère être des violences policières. Cette plainte a été classé sans suite.
Mirdhynn a écrit:En même temps, qu'est ce que tu veux faire à part faire bosser l'IGPN? Tu va pas clouer au pilori toute une profession parce que certains ont dérapé.
toque a écrit:LEAUTAUD a écrit:Grâce au Monde j'apprends un fait qui a son importance : le brigadier et les deux agents incriminés appartiennent au commissariat du quartier !
Donc pour moi il ne fait aucun doute qu'il existait un contentieux entre eux et les membres de ce studio d'enregistrement
Ma main a couper que l'enquête en fera état.
Par ailleurs j'ai revisionné la vidéo et j'observe que celui qui entre le premier dans le studio c'est la victime en entraînant avec lui un policier qui l'agrippe, puis les autres. Il résiste physiquement au contrôle (c'est un grand gabarit, impressionnant dit de lui une voisine journaliste entendue à la radio ce matin), difficilement maîtrisable.
L'enquête devra bien séquencer l'action depuis le début (nous n'avons pas les images de l'interpellation et de ce qui en a suivi), mais une fois la victime entrée dans son studio, les images sont là.
Mon interrogation depuis le début (voir post plus haut : comment se fait-il qu'à 3 les policiers n'ont pu empêcher le gars de rentrer dans son studio (où étaient 9 de ses copains) ?
C'est un des points clés de l'affaire, car elle signe l'échec de l'interpellation sur la voie publique (encore une fois, comment ces 3 agents de la BAC ont-ils pu échouer ?
Ensuite, le gars opposant toujours son inertie, impossible de le déloger sauf par la force. Et là...dérapage ! il va s'en prendre plein la gueule !
Quel est l'objectif poursuivi depuis le début par les policiers ? Une interpellation pour défaut de masque, et résistance. L'action est donc fondée en droit, mais elle n'aboutit pas et s'achève en tabassage.
Je reste très intéressé par le contenu détaillé de l'enquête en cours.
LEAUTAUD a écrit:toque a écrit:LEAUTAUD a écrit:Grâce au Monde j'apprends un fait qui a son importance : le brigadier et les deux agents incriminés appartiennent au commissariat du quartier !
Donc pour moi il ne fait aucun doute qu'il existait un contentieux entre eux et les membres de ce studio d'enregistrement
Ma main a couper que l'enquête en fera état.
Par ailleurs j'ai revisionné la vidéo et j'observe que celui qui entre le premier dans le studio c'est la victime en entraînant avec lui un policier qui l'agrippe, puis les autres. Il résiste physiquement au contrôle (c'est un grand gabarit, impressionnant dit de lui une voisine journaliste entendue à la radio ce matin), difficilement maîtrisable.
L'enquête devra bien séquencer l'action depuis le début (nous n'avons pas les images de l'interpellation et de ce qui en a suivi), mais une fois la victime entrée dans son studio, les images sont là.
Mon interrogation depuis le début (voir post plus haut : comment se fait-il qu'à 3 les policiers n'ont pu empêcher le gars de rentrer dans son studio (où étaient 9 de ses copains) ?
C'est un des points clés de l'affaire, car elle signe l'échec de l'interpellation sur la voie publique (encore une fois, comment ces 3 agents de la BAC ont-ils pu échouer ?
Ensuite, le gars opposant toujours son inertie, impossible de le déloger sauf par la force. Et là...dérapage ! il va s'en prendre plein la gueule !
Quel est l'objectif poursuivi depuis le début par les policiers ? Une interpellation pour défaut de masque, et résistance. L'action est donc fondée en droit, mais elle n'aboutit pas et s'achève en tabassage.
Je reste très intéressé par le contenu détaillé de l'enquête en cours.
Pour une fois que nous pouvons baser nos perceptions d'un tel évènement sur une vidéo révélatrice je suis preneur de toute analyse objective (et non d'humeur) sur la succession des actions qui vont conduire à ce tabassage.
Les policiers mis en cause vont devoir préciser le déroulé de l'action dans ce cadre judiciaire (ils sont en garde à vue), et cela sera rendu public. J'attends.
Le ministère a fait du démarchage pour le syndicat Avenir lycéen
27 novembre 2020 Par Antton Rouget
Un ex-lycéen a raconté à Mediapart, documents à l’appui, comment un responsable de son rectorat l’avait démarché lors de la création d’Avenir lycéen. Au même moment, un compte officiel du ministère diffusait des messages favorables au syndicat pro-Blanquer.
Philemon a écrit:
Objectivement, je pense que le gars était noir.
LEAUTAUD a écrit:
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L'incipit d'hier était tiré de "Le maître du soleil" album Dan Cooper T2 (bravo à Makidoo )
L'invective du jour est "antépénultième"
"En ce début d'après-midi orageux la circulation aux abords de Port Royal est particulièrement dense"
C'est l'antépénultième album de la main du Maître, qui avait déjà eu du mal à reprendre le collier...
LEAUTAUD a écrit:Bien vu l'Ombre jaune, c'est bien l'avant-dernier album de sa main !
LEAUTAUD a écrit:Philemon a écrit:
Objectivement, je pense que le gars était noir.
C'est possible (difficile de confirmer, il faisait nuit )
Blague à part, sa couleur de peau n'épuise pas le sujet, si je puis dire.
A ce stade, en fonction des infos disponibles, je pense que c'est l'échec de leur interpellation qui a conduit au tabassage inadmissible (et qui l'a probablement motivé à leurs yeux)
Je reste sidéré par le fait qu'à 3 ils n'ont pas pu empêcher le gars de rentrer chez lui ! Dommage de n'avoir que la fin de cette phase en vidéo, avec l'entrée du producteur dans son studio suivi du policier qui l'agrippe)
LEAUTAUD a écrit:Pour une fois que nous pouvons baser nos perceptions d'un tel évènement sur une vidéo révélatrice je suis preneur de toute analyse objective (et non d'humeur) sur la succession des actions qui vont conduire à ce tabassage.
Les policiers mis en cause vont devoir préciser le déroulé de l'action dans ce cadre judiciaire (ils sont en garde à vue), et cela sera rendu public. J'attends.
LEAUTAUD a écrit: Vu les personnes concernées cela n'aurait rien d'étonnant (des jeunes noirs, du bruit,cocktail connu)
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