marone222 a écrit:J'ai même souri à quelques vannes.
Il me faut personnellement l'assurance de me fendre la poire tout au long (comme c'est le cas quand je relis un LL de la grande époque) de ma lecture, pour acheter un Luc la Baraka.
Allez, hop, y'a pas à tergiverser ! Recalé à l'écrit, le prof à Sciences Pô, un zéro pointé ça ne pardonne pas !
Je ne le répèterai pas à mon frangin, un ancien "Piston" qui vient d'ajouter à son palmarès ce diplôme, quarante ans après celui décerné par son école d'ingénieur.
marone222 a écrit:Ce qui ne va pas, c'est le rythme, le découpage du scénario...beaucoup trop de bavardages et de poncifs sur la cause animale, une histoire qui ne démarre vraiment qu'à partir de la 12e page.
Quant au dessin, cela a été dit plus haut, on a l'impression qu'Achde fournit le service minimum...des décors à peine esquissés pour ne pas dire absents
Ça fait beaucoup et, pour moi, c'est rédhibitoire.
Ocatarinetabelatchixtchix a écrit:Tagada, tagada, voilà les Dalton (Joe Dassin)
Quand Dassin entonnait cette rengaine, c'était l'époque où on pouvait acheter le dernier Lucky Luke les yeux fermés, quand la prépublication se faisait dans Pilote : Dalton City, Jesse James, Canyon Apache, Western Circus, Ma Dalton, etc...
Avec à la clé un VRAI scénariste complice du dessinateur et non pas parachuté par le pouvoir politique. Ce tandem magique Goscinny/Morris, jadis influencé par leurs amis humoristes de Mad, savaient nous faire marrer à chaque page. Et c'était un art bien difficile qu'ils ont su maîtriser en fait à la perfection.
Diddu a écrit:zxcvbnm a écrit:Le goudron et les plumes
On voit que tu n'as pas lu l'arche de Rantanplan !
Ah ben non, tiens ! Et c'est pas maintenant que je vais m'y mettre !
Car il faut dire que ta critique argumentée, dont je te remercie bien chaleureusement au passage, n'y incite guère !