Thierry_2 a écrit:je connais un peu le système belge (au moins comment il fonctionnait il y a une dizaine d'année) ou le statut d'artiste (comparable à vos intermittents, il inclut comédien, musiciens mais aussi tous les métiers techniques attenant à la culture) était un status que l'on pouvait obtenir définitivement lorsqu'on avait accumulé un certain nombre de jours de prestation sur une période de 450 jours. A ce stade, hors contrat, les artistes touchent des allocations de chômage. Les français bavent sans doute d'envie devant cette situation.
Le statut définitif est généreux mais peu se justifier pour les périodes de vache maigre et protège effectivement l'artiste, qu'il ne faut pas considérer comme un parasite en puissance et qui peut dès lors s'investir plus facilement dans la création. Mais il y avait des abus, comme toujours. reste à définir de l'ampleur des abus,. je crois que la philosophie était que les conditions d'obtention du statut étaient assez difficiles pour garantir une forme d'integrité des bénéficiaires. Et il y avait des contrôles.
patrick gely a écrit:Thierry_2 a écrit:je connais un peu le système belge (au moins comment il fonctionnait il y a une dizaine d'année) ou le statut d'artiste (comparable à vos intermittents, il inclut comédien, musiciens mais aussi tous les métiers techniques attenant à la culture) était un status que l'on pouvait obtenir définitivement lorsqu'on avait accumulé un certain nombre de jours de prestation sur une période de 450 jours. A ce stade, hors contrat, les artistes touchent des allocations de chômage. Les français bavent sans doute d'envie devant cette situation.
Le statut définitif est généreux mais peu se justifier pour les périodes de vache maigre et protège effectivement l'artiste, qu'il ne faut pas considérer comme un parasite en puissance et qui peut dès lors s'investir plus facilement dans la création. Mais il y avait des abus, comme toujours. reste à définir de l'ampleur des abus,. je crois que la philosophie était que les conditions d'obtention du statut étaient assez difficiles pour garantir une forme d'integrité des bénéficiaires. Et il y avait des contrôles.
Ben à part le côté définitif chez vous, je vois pas trop la différence avec le nôtre !
nexus4 a écrit:
nexus4 a écrit:Je le remets ici : tout expliqué en BD
http://www.huffingtonpost.fr/elric-dufa ... 69703.html
- « Y a-t-il une entente implicite entre éditeurs pour ne pas faire grimper trop les tarifs ? »
- « Eh bien, il est clair que si les auteurs se parlent entre eux, les éditeurs parlent également. Personnellement, je ne fais pas de réunions secrètes mais il est clair que Doudjellal rencontre Saint-Vincent, qui rencontre Glénat, etc. Ils font d’ailleurs tous partie du syndicat national de l’édition, section bande dessinée, où ils décident d’un tas de choses. Par exemple, je crois que c’est Marcel-Didier Vrac de chez Glénat qui avait imaginé la suppression du prix à la planche pour le transformer en avances sur droits. Il n’a pas fallu 45 secondes pour que tous les autres éditeurs trouvent l’idée vachement bonne ! »
Le cartel est une violation du droit économique particulièrement injuste, permettant l’accroissement du profit de quelques-uns au détriment de la majorité
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