C'est la faute de la période "guerre civile" que l'on nous martèle à longueur de temps depuis l'époque Sarkosy, c'est cette satanée politique politicienne qui veut que les gens savent plus se parler et ne se respectent même plus, même à propos de deux ou trois mots qui veulent dire la même chose. On peut dire les trois versions, il faut le répéter. Que ceux qui utilisent le terme "Auteure" n'ont aucun compte à rendre à personne, tout comme ceux qui utilisent l'autre mot !! Au départ je suis parti sur un trait d'humour, à lire le mot ça m'avait juste cliqué à l'oreille, voici que l'on se retrouve quasiment dans une guerre de tranchée incompréhensible en 2018, sinon que de la politique politicienne est passée par là et a ouvert une plaie par certaines revendications vindicatives moderne et post attentats de Charlie Hebdo, croyez vous réellement qu'utiliser le mot en question résoudra quoi que ce soit au droit des femmes, ici en France ou par delà nos frontières ?
http://sexes.blogs.liberation.fr/2015/0 ... oque-t-il/
puis juste à côté, à droite :
Un blog écrit par : Les 400 culs
Agnès Giard. Auteure de livres, journaliste et docteur en anthropologie, Agnès Giard a d'abord travaillé sur les nouvelles technologies, les artistes underground et la culture populaire japonaise avant de s'intéresser aux sexualités.
Ici dans ce blog vous avez toute la contradiction d'une époque malheureuse, en guerre, vindicative, où juste l'emploi d'un mot peut vous faire blâmer par une large frange de la population torturée mentalement par des auteurs de style Alain Finkielkraut qui n'avaient rien à "foutre" (oh pardon, ça va choquer dans les chaumières !!) depuis des décennies sinon dresser deux franges de la population sur des sujets polémiques et souvent stériles.
Dans le blog, la trame est clairement pour l'emploi du "nouveau" mot resurgit d'un passé (ancien régime, monarchiste) pour bien frapper la conscience du peuple et le faire démarquer de ces nigauds qui pervertissent la société et le corps de la femme... Je suis persuadé que les vraies féministes partaient d'un bon sentiment, droit-de-l’hommiste, mais seulement en les temps présents et la société sclérosée et malade de ces temps malheureux, les gardiens du temple, trouvent là un cheval de bataille parfaitement habile pour faire avancer leur nouvelle sainte inquisition !
Audrey Alwett, que je respecte en tant qu'Autrice, et dont j'ai la BD (tome 1) devrait également songer qu'elle risque de devenir ou sert d'arme contre une partie de la planète par une frange conservatrice de la société qui se sent en danger et menacée dans ses valeurs et qu'il convient de mettre un peu d'eau dans ce malheureux verre de vin et ériger la tolérance (sur les trois sens) en qualité sinon en vertus dans une société prête à s'entre-déchirée pour de simples symboles...