kamandi a écrit:donc c'est une pandémie
Désolé mais des fois je ne comprends strictement rien à ce que tu écris
il y a toujours des sous entendus
c'est dur de te suivre
C'est simplement une question de points de vue. Au pluriel. Ce que beaucoup refusent de prendre en compte.
Si on suit l'OMS, c'est une pandémie car l'épidémie est "mondiale", mais non générale, et on la déclare pandémie pour pouvoir lancer des plans d'actions. Cela ne dit rien sur sa dangerosité. Comme je l'ai dit, on a depuis plusieurs années une pandémie mondiale d'obésité et d'accidents cardio-vasculaire et je ne vous vois pas crier au loup sur ces sujets, non ?
Maintenant, du point de vue historique, pratique, le mot pandémie est un peu fort car elle ne touche pas la totalité de la population. En %. N'en déplaise. On en est pas au niveau de la peste noire. Cela même si certains pays ont des situations catastrophiques.
Ce n'est pas une question de sous-entendu, mais de contexte, de point de vue. Tout simplement. Et de recul.
corbulon a écrit:C’est surtout qu’avec 72 millions de doses reçues depuis fin décembre , il est impossible pour la France (mais la problématique de l’insuffisance de doses concerne aussi d’autres pays) d’endiguer une quatrième vague, vaccination obligatoire ou pas, à plus forte raison avec un variant qui se transmet plus rapidement. Lors de la première vague, il a suffi que 2 % de la population soit contaminée pour mettre en crise le système hospitalier. Donc à partir de là, ce n’est absolument pas pertinent de faire porter l’arrivée de la quatrième vague aux antivax, voir pire aux personnes qui n’ont pas encore eu le temps ou l’envie de se faire vacciner. C’est bien la politique étatique, qui est en cause. Et la France étant caractérisée par un régime politique présidentiel, fatalement le responsable ne peut pas être le petit chaperon rouge.
Voilà.
Et la citation utile :
Il ne faut pas tomber dans le piège de Macron, qui compte visiblement masquer son incurie et cet énième échec en cultivant une espèce de haine sordide entre vaccinés et non-vaccinés ("diviser pour mieux régner").