Corail a écrit:Pour répondre à Scubby,
On a rencontré un ennemi de taille, très rapide, très imprévisible... le parallèle avec sa maitrise de l'art de la guerre est inévitable.
Notre arme efficace : les progrès de la médecine en quelques mois. Et les labos (en compétition les uns contre les autres) arrivent à s'adapter rapidement à cet ennemi. Pour l'instant et malgré tout, on s'en sort "bien".
Bien sur qu'ils gagnent un pognon fou avec la pandémie. Mais si on ne les avait pas, où en serions nous ?
et demain, avec les virus qui suivront ?
Je ne remets nullement en cause ceci et leur rôle positif dans la gestion de la pandémie, mais en laissant sur le long-terme un épée de Damoclèse planer sur nos tête dont le fil n'est pas tenu par on ne sait quoi, mais par les producteurs de médicaments. J'espère dans tous les cas qu'avec le recul, un débat éthique s'ouvrir sur jusqu'au faut-il pousser la médecine pour prolonger de quelques mois l'espérance de vie. Quand on voit tous l'argent déjà dépenser par la population dans le système général de santé, des coûts qui augmentent année après année, pour financer un progrès attendu évidemment par tous. Rajouter encore des vaccins covid à tout bout de champ risque d'être financièrement dangereux, surtout que les Etats vont bien finir par ne plus participer au financement (donc tous à la charge de la population). On ne va pas vers le beau.