scubby a écrit:Personne ne remet en cause la diversité de l'offre, mais quand je regarde les sorties de mai: "Comment rater ses vacances", "Le réchauffement climatique - mission tara en Arctique", "l'incroyable histoire du vin [pas signé Corbeyran - et oui, c'est possible", "Yasmina - un potager pour l 'humanité", "Footmaniac tome 19", "Celia, une infirmière au temps du Covid", "Range ta chambre au lieu de philosopher", "Maudit Karma", une XXXXème version de 1984 ou la même chose sous un autre titre "La machine ne ferme jamais les yeux", il y a certes un Nautilus, une mort est dans le pré ou un Deadwood Dick (je ne sais pas ou classer "l'histoire du porn non censuré par youtube...]. Les rapports se sont clairement inversés ces dernières temps. Chacun aura sa définition de diversité...
Quand à la tendance auto-castratrice, oui, elle est bien là, discrète, rampante, mais elle fait son effet avec le temps. Tout a commencé avec la suppression de la clope chez Lucky Luke (le début de la fin...). On rajoute des femmes chez Blake et Mortimer pour éviter que la moral bien pensante "imagine" autre chose. Idem pour Lefranc où Jean-jean qui revient dans le tome 31 n'ose plus partager sa chambre avec le journaliste. Les bouteilles de pinard et les petits pétards disparaissent aussi des planches.
Certes, il y avait déjà auparavant de la censure mais surtout de l'auto-censure, mais ce qui est nouveau aujourd'hui est qu'en plus de cette auto-censure, les auteurs doivent tenir compte du contexte. Astérix est en phase de devenir la star de la sociologie, on veut de la diversité, alors hop, on balance Lucky Luke en Louisiane. Alors que les "Vieux Fourneaux" aurait pu être le contre-exemple parfait pour montrer que l'on peut faire du commercial encore bien méchant, voilà qu'on les plonge dans l'écologie bien pensante. Pire encore, les BD historiques tels qu'un Pape dans l'histoire, produit Glénat et une association ecclésiastique qui - à la lecture du 1er tome me semble donner une vision un peu subjective de l'histoire (cf Pie XII face au nazisme).
Bref, malgré une offre exhaustive, les séries FB, avec un bon scénario non contextualisé se font de plus en plus rares.
C'est juste un constat dans lequel ma liberté de lecteur-consommateur fait ses choix.
en gros (sans rentrer dans les détails), je +1
Sinon, à quand la BD pour t'enseigner comment en lire une??
TIRAM a écrit:humour ZÉRO
graphisme ZÉRO
circulez y'a rien à voir !!
2è degré chez toi: zéro
biborax a écrit:Encore heureux qu’il existe encore des BD de ce type. Mais ce genre d’humour est difficile à inclure dans une BD FB classique.
Ce qui me dérange dans les BD c’est que les auteurs se sentent obligé d’insérer des thèmes modernes dans leur bd.
L’exemple qui me vient à l’esprit c’est la dernière tunique bleue, pourquoi avoir inséré le thème de la violence conjugale, et du couple mixe. Cela n’apporte rien à l’histoire.
Si tu n’insères pas le thème soit de l’homosexualité, de l’égalité homme femme, la violence conjugale, raciale, du combat d’une nouvelle minorité, et ben tu es rétrograde…
C’est le fait d’insérer ce genre de message, plus moins de façon lourd dingue, qui me fatigue. On en ait gavé tous les jours et quand je lis une bd j’aimerais ne pas en avoir.
Mais ce n’est pas que dans les BD, dans les séries TV aussi.
Je me fais peut-être vieux…
Essaie d'insérer ce genre de dessin dans un RG, caisson amplifié du PQ (Poli
tocardement Quorrect
) véhicule obligatoire pour tout les LGBTQI-ACDEFHIJKMNOPRSUV ... (ils continuent à se multiplier pour arriver à Z)
biborax a écrit:euh... si vous le dites a écrit:Rendez-nous Fripounet et Marisette !!!!
Ben oui, aujourd'hui c'est plutôt "Pucelle tome 2" ou comment bien s'enfiler un tampon.
Et pourquoi non.
Il y a bien un docu en salle qui parle de clitoris pour enseigner aux femmes qu'elles en ont un.
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)