Brian Addav a écrit:Les couleurs sont faites à la main ?
Stephane Beaujean a écrit:J'ai posé la question en interne. Pas vraiment eu de réponse. La réalité c'est que c'est un dossier qui a été traité avant mon arrivée, que les personnes ne sont plus là, et que ce sont souvent les potentiels commerciaux ou la cohérence avec le public francophone qui font la différence. J'imagine que ça fait partie des projets dont Dupuis s'est dit qu'il n'était pas destiné à être publié sur ce territoire.
Flix développe un Marsupilami en ce moment et là, c'est moi qui ait pris la décision de le sortir sur le territoire Francophone. Mais le style graphique en rupture avec les codes Dupuis fait que cette décision ne relevait pas de l'évidence. Tout ça est très subjectif et dépend de la personne qui gère au moment où le projet nait.
Je relaie cette question...Nicolas Grappin a écrit:Stephane Beaujean, ce qui peut ne pas avoir du succès dans le passé sur le marché francophone peut très bien fonctionner aujourd'hui... D'autre part il y a t-il vraiment eu une étude de marché ? Le dossier de Robbedoes de Legendre et Charel Cambré est il définitivement enterré ou il y a t-il une lueur d'espoir ?
lusabets a écrit:Retour sur l'impression des aventures de Spirou dans le magazine.
Ah, on peut pas dire qu'ils pleurent les encres noires (et bleues) à l'imprimerie, lors des scènes de nuit dans le récit.
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Pour de la nuit, c'est de la nuit. On y voit pas grand chose.
C'est toute la nuance qu'il y a entre une vue sur un écran et la même chose imprimée.
Normalement, il faut éclairer ce qui sera couché sur du papier.
Voici une scène de nuit telle que l'on pouvait la lire dans le temps :
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Je devine que jb681131 va me rétorquer :
- C'est juste le symptôme, c'était mieux avant là pour le coup.
lusabets a écrit:Retour sur l'impression des aventures de Spirou dans le magazine.
Ah, on peut pas dire qu'ils pleurent les encres noires (et bleues) à l'imprimerie, lors des scènes de nuit dans le récit.
Pour de la nuit, c'est de la nuit. On y voit pas grand chose.
C'est toute la nuance qu'il y a entre une vue sur un écran et la même chose imprimée.
Normalement, il faut éclairer ce qui sera couché sur du papier.
[/i]
Oliviou a écrit:Sans compter que le papier n'est pas non plus optimal : c'est du papier de presse (il est encore moins optimal en ce moment, où le journal fait face à la pénurie mondiale et doit faire avec ce qui est disponible).
Oliviou a écrit:En passant : pour les auteurs, la prépublication est souvent l'occasion de déceler des erreurs (de dessin, de dialogue, de couleur) ou de se les faire signaler par des lecteurs, ce qui permet de les corriger avant l'envoi chez l'imprimeur. C'est un vrai luxe dont on ne se prive pas.
Oliviou a écrit:En passant : pour les auteurs, la prépublication est souvent l'occasion de déceler des erreurs (de dessin, de dialogue, de couleur) ou de se les faire signaler par des lecteurs, ce qui permet de les corriger avant l'envoi chez l'imprimeur. C'est un vrai luxe dont on ne se prive pas.
lusabets a écrit:Le papier a bon dos.
Oliviou a écrit:En passant : pour les auteurs, la prépublication est souvent l'occasion de déceler des erreurs (de dessin, de dialogue, de couleur) ou de se les faire signaler par des lecteurs, ce qui permet de les corriger avant l'envoi chez l'imprimeur. C'est un vrai luxe dont on ne se prive pas.
danielsansespace a écrit:Sur la photo preuve, même le blanc est bardé de lignes sombres, donc c’est surtout une preuve de mauvaise foi (...)
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