corbulon a écrit:Mais le truc ici, c'est qu'aucun intervenant n'a lu une bande dessinée de Loo Hui Phang, sinon ils sauraient que ce n'est pas la première fois qu'elle traite de l'identité sexuelle que ce soit dans Panorama chez Atrabile ou alors Une élection américaine chez Futuropolis. Donc je le répète balancer des trucs sans savoir est aussi une forme de condescendance et de manque de respect à autrui.
Pour une fois, ta contribution est intéressante et amène des infos que bcp d'entre nous n'avaient pas... Bien que j'aie été un des rares à admettre que je n'avais jamais rien lu d'elle (outré un Patte de Mouche de 24 pages chez L'Assoc)... meme si pour moi, il est clair que Peeters à aussi contribute au scénar (elle le dit d'ailleurs)
Dommage que tu foutes un de tes rare posts intéressants en l'air par une derni!ère phrase condescendante et manquant de respect à autrui.
corbulon a écrit:C'est une interprétation séduisante, et pas si surprenante vu la part d'onirisme que l'on trouve aussi dans les œuvres de Loo Hui Phang. Et aussi ce n'est pas une surprise si Peeters a pensé à elle pour un scénario, tant il y a des points de convergences dans leurs œuvres respectives, je ne sais plus qui a parlé de symbiose plus haut, mais ça me parait être assez évident, d'ailleurs dans la version luxe Loo Hui Phang, parle d'un scénario écrit sur mesure pour Peeteers.
Je crois qu'elle le dit aussi dans l'inteview sur le site de Pasamonik.
Sinon, effectivement, le lien Atrabile a fonctionné.
Olaf Le Bou a écrit:Tu commences sérieusement à me les briser menues avec tes insinuations. Bravo pour la méthode consistant à piocher un commentaire isolé au bistro et d'en tirer des conclusions définitives, je comprends également mieux ta manière de faire. Et honnêtement, elle me débecte.
Rassure-toi, tu n'es pas sa seule victime... c'est effectivement son jeu...
Et ce genre d'incident est bien plus fréquent sur les forums francophones qu'anglophone, par ailleurs.... d'où le fait que celui-ci est encore un des rares que je fréquente encore
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)