Frannck a écrit:Si ce n'est pas interdit, c'est permis. Je ne vois pas en quoi c'est contre c'est contre la justice.
ubr84 a écrit:Frannck a écrit:Si ce n'est pas interdit, c'est permis. Je ne vois pas en quoi c'est contre c'est contre la justice.
Résumé du sujet :
1) M. Lobby va voir la justice et via un procès en tromperie demande à interdire l'appellation "steack" végétal
2) La justice répond : "ben non, il n'y a en aucune manière tromperie. Votre demande n'a pas de justification. On garde les steacks végétaux. D'ailleurs on a des steacks de thon donc faites pas chier."
3) [reconstitution non documentée à date] M. Lobby va voir M. Macron (ou un de ses ministres) : "la justice là elle est un peu relou, tu veux pas nous pondre un truc pour passer en force ? Tiens d'ailleurs j'ai un brouillon de décret ça pourra t'aider"
4) Le gouvernement fait passer un décret pour interdire la mention steack dans steack végétal
C'est bien une action gouvernementale qui légifère contre la jurisprudence.
En clair : "les juges vous jugez mal, on prend les choses en main"
Séparation des pouvoirs qu'ils disaient
P.S : on s'en fout que vous n'aimiez pas les steacks de soja, ce n'est pas le sujet Ils seront toujours là, mais appelés différemment. C'est un pur sujet de marketing et de lobbying. Avec ce second exemple dans la semaine on comprends mieux les alertes de la commission européenne contre la France.
Les trois stades de développement des arguments climatosceptiques :
1) le réchauffement climatique n'existe pas
2) la situation n'est pas si grave et l'innovation permettra de tout résoudre
3) les catastrophes climatiques sont la faute des écologistes
Olaf Le Bou a écrit:l'enseignement du truc, c'est que même en arrêtant de travailler, de consommer, de voyager, de me chauffer, je serais encore trop haut, alors à quoi bon...
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