Justement, la science n'est pas une religion, elle se base sur les observations et n'est pas fixée. Les nouvelles données/observations s'ajoutent aux anciennes, modifient les interprétations et les modèles, c'est la nature de la bête. Dans l'exemple que tu cites, une variable apparaît avoir plus d'impact que prévu (car, sans doute, moins suivie/étudiée). Désormais, on va plus la prendre en compte et affiner, toujours et encore, les conclusions.
Je critique cette attitude scientiste qui était de mettre au ban les scientifiques qui pointaient déjà du doigt une incohérence sur le lien établi entre réchauffement et pollution alors que c'était loin d'être la position la plus partagée... A présent, les scientistes se rendent compte de leur connerie et définissent un nouveau dogme qu'il sera interdit de critiquer jusqu'à ce que l'évidence saute aux yeux. On le voit bien avec le ton péremptoire de l'autre tocard plus haut qui en est carrément à réécrire l'histoire.