"garantir l'habitabilité" plutôt.
L'humanité et la planète seront toujours là, même si on continue comme ça. Mais dans des conditions disons... altérées

Cf
que j'ai dans ma pile à lire depuis ce week-end
Pouffy a écrit:rahoul a écrit:Commence par définir " sauver la planète " .
Non... ce qu'ils veulent c'est sauver l'humanité, la planète sera toujours là même si on crève tous, certes avec une autre allure.
Pouffy a écrit:rahoul a écrit:Commence par définir " sauver la planète " .
Non... ce qu'ils veulent c'est sauver l'humanité, la planète sera toujours là même si on crève tous, certes avec une autre allure.
Mirdhynn a écrit:Maintenant, effectivement, repasser toutes les entreprises sous contrôle des états pourrait aider (et encore, c'est pas sur) à régler le problème . Mais est ce qu'on a vraiment envie d'une spoliation globale?
rahoul a écrit:Pouffy a écrit:rahoul a écrit:Commence par définir " sauver la planète " .
Non... ce qu'ils veulent c'est sauver l'humanité, la planète sera toujours là même si on crève tous, certes avec une autre allure.
Voilà.![]()
" Sauver la planète ", c'e n'est pas la même chose que vouloir sauver l'humanité, ou revendiquer son occupation globale, ou ses modes de vie.
fanche a écrit:Donc sauver l'humanité c'est provoquer une fin rapide à toute autre forme de vie à la surface de ladite planète
euh... si vous le dites a écrit:Mais la mondialisation et les progrès techniques fulgurants, c'est aussi une conséquence du capitalisme.
Donc, on en revient à la base du problème.
Est-on en face d'un système dont seules des dérives sont problématiques ou au contraire face à un système qui va juste au bout de sa logique ?
Pouffy a écrit: bref 5 à 10% de l'effectifs qui font des bullshits job (ou qui tondent la pelouse avec des ciseaux)
fanche a écrit:Pouffy a écrit: bref 5 à 10% de l'effectifs qui font des bullshits job (ou qui tondent la pelouse avec des ciseaux)
Ça me fait penser que le capitalisme à poussé le taquet jusqu'à repeindre la pelouse asséchée par l’ultra-exploitation des matières premières dont l'eau
Mirdhynn a écrit:euh... si vous le dites a écrit:Mais la mondialisation et les progrès techniques fulgurants, c'est aussi une conséquence du capitalisme.
Donc, on en revient à la base du problème.
Une superpuissance étatique ultra communiste
Mirdhynn a écrit:euh... si vous le dites a écrit:Mais la mondialisation et les progrès techniques fulgurants, c'est aussi une conséquence du capitalisme.
Donc, on en revient à la base du problème.
Pas d'accord, ça c'est de l'idéologie appliquée. Une superpuissance étatique ultra communiste pourrait très bien en faire autant en terme de pollution. Alors même qu'elle contrôlerait toutes les entreprises
. Le fond de la question c'est est-ce qu'on est capable de s'auto limiter ou non à grande échelle
Mirdhynn a écrit:Une superpuissance étatique ultra communiste pourrait très bien en faire autant en terme de pollution. Alors même qu'elle contrôlerait toutes les entreprises
euh... si vous le dites a écrit:Mirdhynn a écrit:Une superpuissance étatique ultra communiste pourrait très bien en faire autant en terme de pollution. Alors même qu'elle contrôlerait toutes les entreprises
On s'en fout des communistes à la soviétique ou autre.
C'est juste un autre système productiviste.
Qui s'est fait rétamer la gueule parce que, contrairement au capitalisme, il était nul en matière d'adaptabilité et de plasticité.
Bon débarras.
Mirdhynn a écrit:fanche a écrit:Mirdhynn a écrit:euh... si vous le dites a écrit:Mais la mondialisation et les progrès techniques fulgurants, c'est aussi une conséquence du capitalisme.
Donc, on en revient à la base du problème.
Une superpuissance étatique ultra communiste
Alors non à la base le communisme c'est une gestion locale. Oui je sais, le bolchevisme et tout ça blabla, mais non c'était du travail de sagouin enfiévré par je ne sais quelle logique expansionniste. Bref, de la daube
Mais ce n'était pas capitaliste...
euh... si vous le dites a écrit:Ce n'est pas de l'idéologie appliquée, c'est un constat.
C'est bien la réussite du système capitaliste qui a porté l'espèce humaine à un degré de développement qui a permis la mondialisation et les progrès techniques fulgurants dont nous disposons aujourd'hui.
Mais c'est dans le même temps un système qui a glissé sous le tapis les externalités négatives qu'il générait.
C'est le système qui a permis le mode de vie que nous connaissons aujourd'hui mais qui dans le même temps a refusé de comprendre que cela ne pouvait être que temporaire. La lutte contre le système s'est longtemps placée sur le terrain des inégalités qu'il engendrait, c'est-à-dire une lutte contre les conséquences de la nature prédatrice du système. A présent, en plus de cela, nous passons à quelque chose qui relève non plus seulement de conséquences négatives engendrées par le système mais à quelque chose qui relève d'un bug dans sa nature même, dans ce qui relève de son essence. Un des facteurs de réussite du capitalisme face aux autres systèmes, c'est son adaptabilité et sa plasticité. Mais là, le système est confronté à un impératif qui remet en cause ses fondements mêmes : le dogme de la croissance infinie. Dans un milieu qui ne l'est pas et qui commence à méchamment nous le rappeler.
Le fond de la question, c'est de savoir si le système est capable de prendre en compte les externalités environnementales qu'il induit sans s'effondrer ou plutôt sans conduire à l'effondrement des sociétés dans lesquelles nous vivons.
ubr84 a écrit:euh... si vous le dites a écrit:Mirdhynn a écrit:Une superpuissance étatique ultra communiste pourrait très bien en faire autant en terme de pollution. Alors même qu'elle contrôlerait toutes les entreprises
On s'en fout des communistes à la soviétique ou autre.
C'est juste un autre système productiviste.
Qui s'est fait rétamer la gueule parce que, contrairement au capitalisme, il était nul en matière d'adaptabilité et de plasticité.
Bon débarras.
Oui, je n'arrive pas à comprendre ceux qui restent bloquée à l'époque de la guerre froide et qui ne voit en alternative au capitalisme que le communisme soviétique![]()
Comme si "il n'y avait pas d'autre alternative"
dod a écrit:ubr84 a écrit:Je crois que c'est du à une association de concepts : les partis politiques qui parlent de changer de système sont souvent de gauche et en opposition frontale avec le système capitaliste....
Pour la plupart c'est donc simple : la seule voie autre que le capitalisme c'est le communisme et ça ils n'aiment pas
dod a écrit:Je crois que c'est du à une association de concepts : les partis politiques qui parlent de changer de système sont souvent de gauche et en opposition frontale avec le système capitaliste....
Pour la plupart c'est donc simple : la seule voie autre que le capitalisme c'est le communisme et ça ils n'aiment pas
Pouffy a écrit:dod a écrit:Je crois que c'est du à une association de concepts : les partis politiques qui parlent de changer de système sont souvent de gauche et en opposition frontale avec le système capitaliste....
Pour la plupart c'est donc simple : la seule voie autre que le capitalisme c'est le communisme et ça ils n'aiment pas
Tu as aussi les partis de droite qui mettent souvent en avant le protectionnisme.
Le problème c'est que ni à droite ni gauche on n'a de modèle économique viable basé sur la décroissance.
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 0 invités